... Le sel étant la seule façon à l’époque de conserver viandes et poissons, on venait de partout acheter celui de Brouage : beaucoup provenaient d’Europe du Nord, d’où arrivaient les idées de Luther et de la Réforme protestante. ...
Pierre Miville
... Le fleuve aux eaux limpides, salées et tempétueuses regorge d’anguilles et d’autres poissons ainsi que de fruits de mer. 46. Francine Ouellette, Feu : la rivière profanée, Montréal, Libre Expression, 2004, p. 121. ...
... , et 200 livres dans un an, soit en castor, soit en argent. ...
... Une houe Un sac à plomb avec une poire à poudre Une tasse en étain Quarante-neuf clous Une cravate de castor Deux morceaux de couverte rouge Environ un boisseau de sel Un marteau Une cuillère à manger de la soupe Un ciseau Une alène Une serpe Une plane ...
... Le plus commun demeure le castor. Entre les années 1660 et 1760, on évalue à environ vingt-cinq millions le nombre de peaux de castor expédiées en France. ...
... Ils veulent surtout des haches de métal et des chaudrons en cuivre. « Les cristaux, les miroirs et le cuivre sont tous très prisés113. » Outre les fourrures, et particulièrement le castor, les Blancs ont aussi appris à apprécier les objets issus des technologies ...
... 2 castors 2 castors 2 castors 2 castors 2 castors Source : Jacques Mathieu, La Nouvelle-France – Les Français en Amérique du Nord xvi e – xviii e siècle, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1991, p. 156. ...