... Jacques-François de Monbeton de Brouillan au ministre, 1694, n.d., ANC, MG1C11C, vol. 2, f. 28-37. 43. Jacques-François de Monbeton de Brouillan à Phélypeaux, ministère de la Marine, 1695, n.d., ANC, MG1-C11C, vol. 2, f. 51-52. 44. ...
Plaisance
... François Durand de La Garenne au ministre, 22 septembre 1699, ANC, MG1C11C, vol. 2, f. 233-238. 62. Joseph de Monic au ministre, 25 août 1700, ANC, MG1-C11C, vol. 3, f. 24-31v. 63. ...
... François Durand de La Garenne au ministre, 26 octobre 1704, ANC, MG1-C11C, vol. 4, f. 138-141. De La Garenne au ministre, 3 novembre 1704, ANC, MG1-C11C, vol. 4, f. 145-146v. 88. ...
... Pour Jacques-François de Monbeton de Brouillan, le problème est d’autant plus grave que, lorsqu’un nombre suffisant de soldats sont assignés aux canons, il ne lui reste plus assez de mousquetaires. À la fin de 1693, il n’y a que 49 hommes en état ...
... François Durand de La Garenne s’attend à d’autres désertions en raison des conditions de vie difficiles de la colonie et de la fatigue attribuable aux nombreuses corvées de coupe et de transport de bois35. ...
... durant la période à l’étude Louis Pastour de Costebelle Philippe Pastour de Costebelle, capitaine de compagnie et lieutenant de roi Louis Denys de La Ronde, capitaine de compagnie Baron Louis-Armand de Lahontan Jacques L’Hermitte, ingénieur et major François ...
... En France même, la tradition des milices ne date toutefois que de 1688. En 1701, en Acadie, le gouverneur Jacques-François de Monbeton de Brouillan estime possible de lever une troupe de 328 hommes de milice dans la grande région de Port-Royal43. ...
... En 1693, le gouverneur Jacques-François de Monbeton de Brouillan fait valoir qu’en augmentant la garnison les habitants ne seraient plus obligés de laisser leurs engagés participer à la garde du fort. ...
... Pour remplir ce poste, Jacques-François de Monbeton de Brouillan arrête son choix sur l’habitant Pierre Carrerot qu’il considère comme un homme sage et fidèle. ...
... En 1701, François Durand de La Garenne rapporte que les vivres restées en surplus dans les magasins ont servi à faire subsister la garnison durant juin et juillet. Habituellement, les vivres sont épuisées à la fin de mai. ...