... Qui plus est, les institutions éducatives yiddishophones offrirent à plusieurs jeunes, épris des lettres et versés dans la connaissance des ...
Première École yiddish de Montréal. 1911-1914 (La)
... Sur ce drapeau était cousue en lettres d’or l’inscription : « fondé le 10 mai 190514 ». ...
... Qui plus est, la communauté juive comptait en son sein quelques familles arrivées d’Europe de l’Est à la fin du XIXe siècle, soit avant la grande vague migratoire, et qui étaient propriétaires de grosses usines de confection situées dans le corridor du ...
... nouvellement créées et épousant des doctrines socialistes, séculières et de surcroît souvent sionistes, se trouvaient le plus souvent des jeunes hommes qui avaient fréquenté en Europe de l’Est le kheyder et la yeshiva55, ou qui avaient appartenu à des familles ...
... 59 » Le journaliste Israël Medresh rappelle lui aussi dans ses mémoires comment se fit le passage à Montréal, avant 1914, entre la tradition savante religieuse et les lettres yiddish d’inspiration séculière : Presque tous les écrivains juifs de cette ...
... Malgré ces failles constantes, Novak livre dans son œuvre posthume sans doute le témoignage le plus achevé dans les lettres yiddish canadiennes concernant l’état d ’esprit des immigrants de la période 1905-1914. ...
... En français : « L’enfant né dans une famille ouvrière doit prendre parti pour la classe ouvrière », « Apprend en combattant et combat en apprenant » et « Chaque enfant né dans une famille ouvrière devrait s’inscrire à une école prolétariste ». ...
... Dans la culture est-européenne, un melamed (melamdim au pluriel) est un maître dont les services sont retenus par une famille de manière privée ou qui enseigne dans un kheyder. ...
... Influent autant par sa prose que par le nombre de ses disciples littéraires, Peretz est né à Zamosc en Pologne au sein d’une famille traditionaliste sur le plan religieux et fit carrière dans l’écriture à partir de 1888, soit lorsqu’il s’établit définitivement ...
... Nous n’avions pas encore fondé de famille et aucune inquiétude ne nous assaillait. Bien au contraire ! C’est au moment où les jours redevenaient doux, à l’époque de la fête de Pesakh*, que la « montagne » se remplissait à nouveau des nôtres. ...