... Riel se considérait apparenté aux Métis anglo-protestants qui avaient d’abord traité avec la Compagnie de la Baie d’Hudson et qui formaient un élément aussi nombreux que celui des francophones, mais il n’estimait pas qu’ils appartenaient à la même nation ...
Premières Nations ? Seconds regards
... Ils espèrent acquérir de plus vastes territoires par des négociations sur les droits issus des traités (en Ontario et dans les Prairies) ou par le règlement de revendications (en Colombie-Britannique), mais leur sentiment identitaire Premières nations.Set-up ...
... Aucune nation n’entend se mêler de la distribution des pouvoirs entre gouvernements locaux, provinciaux et autochtones au Canada ; elles continueront de traiter le Canada comme une puissance souveraine. ...
... Cette Première Nation a intenté contre la Couronne une poursuite de un milliard de dollars, alléguant une mauvaise gestion à long terme de ses ressources naturelles, de même que le non-respect des obligations auxquelles elle était tenue en vertu de traités ...
... De plus, le seul fait de traiter avec une société canadienne omniprésente exige aussi un tel mode de gouvernement. ...
... Une diversité d’un autre genre, et qui a des effets politiques semblables, existe dans les réserves dont certains membres descendent de Métis signataires de traités et qui ne sont donc pas considérés par d’autres comme des Indiens authentiques38. ...
... De nombreux porte-parole amérindiens prétendent que l’exemption d’impôts est un état perpétuel — un droit autochtone, un droit issu des traités ou, estime l’avocat Alan Pratt, « un élément fondamental de la relation spéciale » existant entre les peuples ...
... Rien n’indique que les résidents actuels souhaitent la dissolution de leurs réserves ; le Canada encourage depuis plus d’un siècle, par un système de réserves et de traités, les communautés autochtones à survivre comme collectivité. ...
... Bien qu’ils n’aient pas fait partie de leur culture, de tels droits étaient déjà solidement établis à l’époque où ces chasseurs des forêts conclurent des traités de cession du territoire au xixe siècle et au début du xxe. ...
... En l’absence de machinerie et d’animaux de trait, le travail devait être accompli collectivement à la force des bras et, en l’absence d’engrais animal (les Indiens utilisaient de la cendre pour fertiliser les sols), les champs devaient être périodiquement ...