Prénoms de nos ancêtres (Les)

Prénoms de nos ancêtres (Les)

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... son sexe, afin qu’il en puisse imiter les vertus & ressentir les effets de la protection auprès de Dieu ; bien entendu qu’on ne peut sans irreverence corrompre ces noms de Saints et de Saintes, en appellant, par exemple, Jeannot pour Jean, Manon pour Marie ...

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... Les traditionnels Jean, Pierre, Marie, Anne, comme les plus récents Marie-Josephe, Marie-Madeleine, Jean-Baptiste et Joseph, ont tous un lien direct avec Jésus-Christ. Parents ou amis, ils le côtoient dans les Évangiles. ...

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... C’est ainsi que les parents d’un enfant sur vingt, surtout ceux de l’élite, mariés entre 64 ...

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... Il touche à peine 0,5 % des filles de parents mariés avant 1680. À la période suivante, il ne s’accroît que chez l’élite, où il atteint un maigre 1,5 % des filles. D’inexistant, il se répand donc 67 ...

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... Cette augmentation parallèle, chez les filles et chez les garçons, s’explique par la hausse de popularité de deux prénoms en particulier : Amable, d’une part, et Marie, de l’autre. ...

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... En Franche-Comté comme en Nouvelle-France, c’est surtout Marie qui récolte les honneurs. La popularité de Marie comme prénom masculin peut paraître ironique. En effet, son attribution est 69 ...

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... L’attribution du prénom Marie à un garçon semble témoigner d’une volonté chrétienne de mettre le nouveau-né sous la protection de la Vierge. Autres influences religieuses Un mot enfin, pour terminer, sur les prénoms bibliques. ...

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... Marie-Louise et MarieAnne, par exemple, sont deux prénoms entièrement différents et on a considéré que la transmission de Marie n’avait pas eu lieu. ...

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... À une époque où la grande majorité des prénoms multiples féminins comportent la particule Marie, il est normal qu’on doute de la volonté de la marraine de transmettre le prénom Marie. Mais comment le savoir en vérité ? ...

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... Le pourcentage des filleuls nés de parents mariés entre 1700 et 1729 étant pourvus du prénom de leur parrain ou de leur marraine atteint grossièrement la même proportion que celle de l’élite. ...