Quatre cents hivers

Quatre cents hivers

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... . — Pourriez-vous retrouver un jeune garçon et sa famille ? La famille de Julien Boileau. Ils habitaient dans les faubourgs qui ont été détruits. J’aimerais les voir. ...

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... Philémon puisait à la rivière l’eau qui servirait aux soins de bébé Albert et aux besoins de la famille. Le soleil touchait déjà l’horizon. Le froid était bien installé. Les réfugiés gagnaient peu à peu les tentes pour la nuit. ...

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... Philémon suivit sa famille dans la salle des hommes de l’hôpital transformée en chambre funéraire. Tous les visages étaient tristes. Les paroles étaient chuchotées, les larmes retenues ou essuyées. ...

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... Épilogue Quelques jours après les funérailles, sœur Saint-Pierre mit sous enveloppe une lettre de la supérieure, mère Saint-Olivier, 178 ...

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... Chez lui, il ouvrit le panneau de son secrétaire, y rangea la lettre de Washington, le referma et le verrouilla. Dans sa chambre, Catherine s’assit devant la glace pour redonner du volume à sa coiffure. ...

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... Les uns parlaient de leur famille, les autres de leur ferme, de leur petit commerce. Certains grognaient, d’autres souffraient en silence. Tous se sentaient terriblement loin de chez eux dans ce pays de papistes calqué sur la France. ...

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... Quel bonheur de retrouver sa famille ! Elle profita du moment où Françoise était allée chercher le dessert pour réclamer l’attention de tous. — J’ai une annonce à vous faire. ...

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... L’autre lettre, adressée à Carleton, le mettait en garde devant les conséquences de son obstination. Thomas fit le tour des rues avoisinantes pour ramasser les messages. ...

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... Le commerçant Cunningham ouvrit et le surprit au moment où il allait coincer la lettre. — Que fais-tu là, garnement ? Hé ! Tu ne serais pas le pupille de Médard Boileau ? ...

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... Loin de cette famille hypocrite qui me tient enfermée dans cette chambre. — Non, v-voyons, vous êtes libre. V-Vous n’avez q-qu’à sortir ! — C’est ce que tu crois ! Méfie-toi d’eux, Thomas. Pars ! Quitte cette ville. ...