... Mais c’est, en effet, dans votre famille que le malheur est survenu. Elle sentit ses jambes fléchir et trouva le secours d’une chaise. — C’est tante Amélie ? — C’est le neveu de votre père… — Thomas ? — Il a rallié les rangs des rebelles. ...
Quatre cents hivers
... Catherine l’interrogea : — Votre famille, au Connecticut, ne vous manque pas ? — Oui. Je pense souvent à elle. J’écris à mes parents et à ma sœur Edith. Elle vous plairait, j’en suis certain. — Et vous écrivez à une madame McKenna ? ...
... Sans qu’aucun de ses hommes n’en dise mot, Médard le savait, ils avaient tous en tête le souper qu’ils ne prendraient pas en famille. Certains étaient de vieux compagnons de la guerre de Sept Ans, des hommes de courage et de devoir. ...
... Sur le sien, Thomas inscrivit en lettres bien visibles : La liberté ou la mort. ...
... . — Il est de ma famille ! — Il a besoin de soin de toute urgence. Nous l’emmenons à l’hôpital. Déjà, les hommes déposaient Thomas sur le traîneau et le couvraient de couvertures pour chevaux. — Je viens avec vous ! ...
... . — Les premières lettres depuis des mois à nous provenir de l’extérieur, observa Médard. 274 ...
... Dans la cour, les domestiques s’attroupaient ainsi que les familles qui, depuis le début des bombardements sur la ville, trouvaient refuge dans les granges, les étables et les greniers. ...
... Les autres, aidées par les familles et les pensionnaires, se chargèrent de conduire les combattants à l’intérieur. Dans l’église, sœur Saint-Philippe fit retirer les chaises, répandre la paille, apporter l’eau et les linges propres. ...
... . — Ma sœur, comment je vais faire pour nourrir ma famille, maintenant ? J’ai une femme, trois enfants. — Nous allons d’abord vous soigner. Soyez fort et vous la retrouverez, votre famille. — Priez pour moi, ma sœur. — Je le fais déjà. ...
... L’absence des hommes avait retardé la récolte et sa famille avait faim. Dans quelques semaines, les moulins seraient grippés dans la glace et ne pourraient plus rien moudre. ...