... Pour Taillon, la rupture brusque des négociations à Paris par Hall, inspirée par son désir de rétablir les relations financières traditionnelles avec le marché britannique, en particulier avec la Banque de Montréal, et son échec à Londres auraient pu ...
Québec emprunte (Le)
... Taillon obtient l’autorisation du conseil exécutif (no 537 du 13-10-1894) et envoie à Paris un mandataire, Edmond-J. Barbeau, administrateur du Crédit foncier, pour régler les derniers détails130. ...
... De plus la Banque obtient l’exclusivité de la conversion jusqu’en 1899 : « le gouvernement s’engage à ne traiter avec aucune autre institution pour les fins de conversion, d’ici au 1er mai 1899, et à n’émettre aucun nouvel emprunt pour obtenir de nouveaux ...
... et celles de la Banque de Paris et des Pays-Bas à Paris167. ...
... payés à p lusieurs endroits tels que Montréal, Londres, Paris ou New York. ...
... et du Crédit Lyonnais et de la Banque de Paris et des Pays-Bas d’autre part. ...
... position de syndicat financier principal du gouvernement entre 1880 et 1894 au profit de grandes banques françaises, le Crédit Lyonnais et la Banque de Paris et des Pays-Bas. ...
... Cette dernière, la plus élevée, ne peut être acceptée cependant, car elle ne rencontre pas les exigences de la demande de soumission en ce qui a trait aux conditions de versement du produit de l’émission, qu’elle demandait d’échelonner sur une plus longue ...
... À moins d’avoir des dossiers détaillés sur le traitement des coupons d’intérêt et d’en faire l’analyse pour plusieurs emprunts, il faut se contenter de présumer que les détenteurs des obligations à moyen ou à long terme sont surtout des institutions financières ...
... En 1928, par exemple, le gouvernement cherche à acquérir discrètement sur le marché français des obligations de l’emprunt de 3 % de 1894 échéant en 1955, émis par le Crédit Lyonnais et la Banque de Paris et des Pays-Bas sur les marchés français 158. ...