... Mon père avait passé le pain dans la moitié des villages, moi avec lui, j’étais l’aîné des enfants de la famille. De vieux bleus me disaient : « T ’es le fils de Paul ? Ah ! oui ? Comment ça va ? ...
Relais (Le)
... En politique, la vie de famille écope parce que l’on veut réussir et on en fait plus que les autres. Lise Payette m’a dit, une fois : « Les femmes en politique, c’est comme les jeunes en politique. ...
... CJMS, station de radio AM de Montréal, ouverte en 1954, dont les lettres d’appel évoquaient la devise du Québec « Je me souviens ». Pendant la crise d’Octobre, CJMS a été le canal privilégié des communiqués du FLQ. ...
... Bref, au moment de la crise d’Octobre, on ne savait rien, on ne voyait rien, mais on devait décider et on l’a fait « en bon père de famille » sur la base des informations policières qui nous étaient présentées. ...
... La lettre qu’il a écrite au premier ministre, dans laquelle il disait que c’était probablement la lettre la plus importante qu’il écrivait de sa vie, plaidait pour un règlement qui l’épargnerait. ...
... Le souper Pendant ce repas, on a parlé de nos goûts pour la musique, de la famille, etc. Quand on est sortis de là, on avait intuitivement du respect l’un pour l’autre. ...
... Je l’ai présenté à ma famille. Plusieurs ne comprenaient pas ça. Pour l’homme de la rue, nous étions à couteaux tirés. Même ma famille ne comprenait pas. Deux heures plus tard, c’est Louis Laberge qui est arrivé. ...
... Je lui ai remis la lettre. Deux jours après, il m’a fait venir à son bureau et me dit : « Tu as écrit ça sous le coup de la fatigue. ...
... » J’ai dit : « Ce n’est pas moi qui décide ça. » Bien sûr, il y avait de l’animosité à l’intérieur de cette famille libérale qui était multidimensionnelle. ...
... Dans les semaines qui ont suivi la défaite, j’ai dû retomber sur mes pieds parce que je n’avais plus d’emploi, je n’étais plus fonctionnaire et je devais gagner ma vie et celle de ma famille. ...