... Première condition, accepter que son navire soit visité pour vérifier qu’il ne transportait pas de pelleteries dont il ne pouvait ni lui ni son équipage faire la traite. ...
Réseau du Canada (Le)
... Nous avons traité à part la recrue de François Peron de 1655 car elle répondait à une demande de Jean Bourdon, les contrats des engagés étant tous clairement établis à son nom. ...
... Avaient-ils un accord avec Nicolas Denis, concessionnaire de la traite dans le golfe ? Pourquoi se retrouvèrent-ils à Québec ensuite ? ...
... Le commerce des forains se faisait avec l’habitant qui seul avait le droit de traiter avec les Amérindiens. ...
... Ou encore, Méderic Bourduceau, marchand à Paris et beau-frère d’un avocat en parlement, qui, le 29 mars 1658 à Paris, s’associa avec sa fille Anne-Françoise pour « trafiquer des marchandises en l’île de Montréal ». ...
... Le procédé de recrutement était le suivant : les jésuites de la colonie envoyaient à leur provincial à Paris leurs demandes et, en France, ce dernier s’occupait du recrutement. ...
... 1639 ou avant en Nouvelle-France et auquel fut accordée une seigneurie en 1653; dès 1649, il fut représenté à La Rochelle, lors de l’engagement de Pierre Paillereau, par Noël Bélanger, conseiller du roi et contrôleur général de la maison de ville de Paris ...
... Dès le départ des navires au printemps de 1641, Jérôme Le Royer se rendit à Paris pour trouver du financement afin de préparer l’embarquement suivant et, quelque six mois plus tard, « environ trente-cinq personnes de conditions se sont unies pour travailler ...
... En 1663, la Société fut volontairement dissoute et les seigneuries en sa possession furent remises au Séminaire de Saint-Sulpice à Paris. ...
... Il nous apparaît alors que, loin d’être fortuite, la rencontre entre Jeanne Mance et Le Royer était prévue depuis Paris. ...