... En plus de travailler à l’embarquement pour Québec, ils s’occupèrent peut-être, au nom de la Compagnie générale, de recruter les engagés et de les embarquer sur Le Saint- Jean qui appareilla de Dieppe le 12 mars 1633 pour aller ravitailler et renforcer ...
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... Le roi ordonna bien une mainlevée sur cette saisie le 23 mars 1639, mais il était alors trop tard pour que le résultat de la vente profite à cet embarquement. ...
... Les deux autres navires rochelais, La Marie et La Magdelaine, avaient ordre de se rendre à Québec et d’attendre le départ de Savinien de Courpon, amiral de la flotte pour repartir. ...
... Célibataires ou mariés, ils n’avaient pour la plupart aucune possibilité d’entraide familiale de leurs enfants mâles puisque ceux-ci n’étaient pas encore nés ou étaient très jeunes. ...
... Il sut rentrer en grâces auprès de la Compagnie puisqu’en 1637 il réapparaissait à Québec avec les honneurs, c’est-à-dire seigneur d’un fief baptisé Bellechasse qui lui avait été concédé le 28 mars, peu avant le départ de la flotte. ...
... Compagnie qu’elle remît le privilège de la traite des fourrures aux habitants de la Nouvelle-France regroupés en une société qui prit le nom de Communauté des habitants, démarche qui aboutit au traité du 14 janvier 1645 et à sa sanction royale le 6 mars ...
... Un arrêt du conseil du 19 mars 1644 imposait une énième fois aux associés de laisser leur mise de fonds précédente sans chercher à se partager les derniers retours de fourrures. ...
... S’il fallait une autre preuve d’une possible duplicité, nous la trouvons dans ces mêmes lettres de ratification et dans la cession de la seigneurie faite par Le Royer et Chevrier aux associés de Montréal le 25 mars 1644. ...
... Lauson prêtait serment le 20 mars. ...
... Un arrêt du Conseil du roi du 13 mars 1659, confirmant celui de 1657, ordonnait que la traite soit entièrement faite dans le magasin102. ...