Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 4

Revue d'histoire de la Nouvelle-France, No 4

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... Une lettre de Jeanne Mance, cofondatrice de Montréal, est mise en valeur et laisse le public s’extasier devant une telle primeur, relayée par de nombreux médias. Du côté des chercheurs, en revanche, la publication suscite plutôt la méfiance. ...

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... La diversité de la provenance des lettres expose également la mentalité du peuple de l’époque. ...

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... Joint par la Revue, Paul Labonne est bien conscient que le document était déjà connu : « Nous savions que la lettre existait. ...

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... Quand on l’admet, on croit qu’il concerne « seulement » un petit nombre d’esclaves, surtout afro-descendants, qui auraient servi quelques familles riches. Rien à voir avec les horreurs des colonies du Sud ! ...

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... Ce mythe tenace de l’esclave « traité comme un membre de la famille » adoucit la vision que l’on peut avoir de l’esclavage en NouvelleFrance. ...

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... Le Masurier, Portrait de Choiseul-Meuse et sa famille à la Martinique, 1775. Collection particulière. ...

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... L’étude des familles des marchands montréalais valide cette théorie. Dans tous les cas, ce n’est donc pas juste pour faire bonne figure en société que la grande majorité des colons se procurent un unique esclave autochtone. ...

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... Dans la même veine, on peut soupçonner que les deux enfants « sauvages », Louis et Alexandre, placés en 1677 dans la famille de Repentigny, sont bel et bien des esclaves, car le missionnaire qui les baptise ne nomme pas les parents des enfants, comme ...

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... Cependant, il est mentionné à plusieurs reprises qu’elle descend avec un ou des enfants de la famille Chaumont ; elle n’est donc pas seule. ...

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... Quelques minutes plus tard, les enfants de la famille Durand, restés à la maison, entendent leur cousine crier et s’inquiètent. ...