Richmond d'une époque à l'autre

Richmond d'une époque à l'autre

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... La rivière, grâce aux poissons, et notamment au saumon, procurait des protéines en abondance. ...

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... Ces cours d’eau regorgeaient de poissons, une précieuse ...

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... Les saumons ne sont toujours pas de retour dans la Saint-François ; toutefois, on peut y retrouver près d’une cinquantaine d’espèces de poissons. L’été, martins-pêcheurs, aigles et hérons viennent y élire domicile. ...

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... Une fois défrichée, la terre pouvait produire une grande variété de céréales, fruits et légumes qui deviendraient les compléments du poisson et du gibier, fruits de la patience du pêcheur et du chasseur. ...

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... 98 RICHMOND D’UNE ÉPOQUE À L’AUTRE Nations que la lente, mais presque totale disparition et assimilation des Abénakis passe inaperçue. ...

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... De nos jours, des traces d’assimilation faite au moyen de mariages mixtes sont encore présentes. ...

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... Un fermier avait remarqué que des castors s’étaient installés à cet endroit et qu’ils s’affairaient à construire un barrage qui, tôt ou tard, inonderait l’un de ses champs. ...

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... Les castors avaient bloqué un caniveau de quatre pieds près du passage à niveau Gore et la route était sur le point d’être emportée. ...

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... seconde. » Au cours des quarante dernières années, Fortier a su piéger une surprenante variété d’animaux sauvages : « L’an dernier, j’ai envoyé au-dessus d’une centaine de fourrures : celles de deux coyotes, deux renards, douze visons, quarante-sept castors ...

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... J’y garde toujours quelques castors, car j’utilise la chair de castor comme appât pour mes pièges. ...