... Le 7 février 1803, c’est au tour de Marie — l’unique fille de la famille encore vivante — de se rendre au pied de l’autel pour la bénédiction de son mariage avec Ambroise Hamel (1774-1815), fils de Louis Hamel et de Marie-Madeleine Sidelot Montreuil. ...
Rousseau de Pohénégamook (Les)
... Le 12 février 1790, Jacques, son frère Laurent et leurs sœurs Marie-Agathe et Marie-Josephte décident de vendre à Amable Gosselin les derniers lots de terre qu’ils possèdent encore dans la paroisse Saint-Pierre. ...
... et Marie-Josephe Rousseau. ...
... les deux jacques 103 Marie-Angèle Savoie (1793-1867), fille de Michel Savoie et de MarieCharles Avare. Hélas ! Marie-Angèle ne lui donne aucun enfant. Il semble bien qu’elle fût stérile46. ...
... Quant à la maison et au lot de terre sur lequel elle était érigée, ils furent d’abord la propriété de Paschal Sirois dit Duplessis, premier époux de Marie-Josephte Pelletier, mariée en 2e noces à Ambroise Rousseau, le 25 octobre 1802. ...
... Sans doute a-t-il rencontré la jeune veuve lors de ses pérégrinations comme marchand, soit à Saint-André ou à Kamouraska, soit encore à Saint-Roch-des-Aulnaies, où vit encore la mère de Marie-Josephte, Marie-Anne Roy Desjardins Lauzier. ...
... Le mariage d’Ambroise et de Marie-Josephte Le projet d’Ambroise d’épouser Marie-Josephte Pelletier se concrétise au cours de l’année 1802. À 26 ans, le rêve de réussir dans la vie est encore permis ! Ambroise s’y accroche avec ferveur. ...
... Cette location permet à Ambroise d’apporter quelques effets matériels au ménage que possède déjà Marie-Josephte Pelletier. ...
... Le recours imprudent au crédit Sans doute Ambroise a-t-il emménagé avec Marie-Josephte dans l’ancienne demeure de feu Pascal Sirois dit Duplessis. Il ne semble pas avoir de maison à lui quand il se marie. D’ailleurs, le peu d’argent qu’il possède ...
... Le bail est assorti de conditions qu’Ambroise et Marie-Josephte devront à tout prix respecter, entre autres celles « de cultiver lesdites terres et parties de terre en bon père de famille sans les désoler ni désaisonner autrement que coutume », « de les ...