... Elle craignait de ne plus le revoir et se voyait déjà accusée de son meurtre par les Français de Québec, ce qui aurait rendu impossible sa participation à la traite des fourrures sur les bords du 95. Les Œuvres complètes de Champlain, t. ...
Samuel de Champlain - biographie
... Eugène Réveillaud, Paris, G. Fischbacher, Grassart et Maisonneuve Frères, 1888, p. 96. 103. C. Garrad, Petun to Wyandot. ...
... l’induction de leurs médecins ou magiciens, qui ne veulent point être contrariés ni condamnés en leurs sottises », c’est-à-dire l’opposition des chamans pétuns à la diffusion du message chrétien105, mais autre chose explique sans doute également les traitements ...
... Champlain leur demande de venir à la traite des fourrures jusqu’à Québec en échange de son aide dans leur guerre contre leurs ennemis, en particulier les Mascoutens ou « gens du Feu », une nation de langue algonquienne qui vit à dix journées de canot ...
... Champlain accepte, car il craint la division de ses alliés et les menaces qu’elle ferait peser sur la traite des fourrures. ...
... Comme il ne s’agit pas de marchandises de traite, on peut supposer qu’il s’agit d’artéfacts laissés là par Champlain et ses hommes114. Pendant tout le reste de l’hiver, ceux-ci s’occupent comme ils peuvent. ...
... I, op. cit., p. 550 ; Gilles Thérien, « Les rites funéraires chez les Hurons », Scritti sulla Nouvelle-France Seicento, Bari-Paris, Adriatica-Nizet, 1984, p. 129-140. ...
... La traite bat vite son plein, mais comme le père Le Caron désire retrouver au plus tôt les autres récollets qui se trouvent à Québec, il part avec quelques Hurons. ...
... comme des frères », et sécuriser l’accès à la traite pour les autres Hurons. ...
... Malheureusement, la Compagnie du Canada ne veut pas risquer de perdre son monopole de la traite des fourrures, et elle s’oppose donc à ce que le pays se peuple de Français et à ce que les indigènes deviennent sédentaires. ...