Samuel de Champlain - biographie

Samuel de Champlain - biographie

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... Leurs capitaines lui font savoir qu’ils sont autorisés par leur roi, Charles Ier, à faire la traite à Tadoussac, à condition de ne pas agresser les Français22. ...

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... Comme de mauvais traitements étaient infligés par Lewis Kirke à ses hommes, une mutinerie a été suscitée contre lui par un pasteur qui était luthérien. ...

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... On craint alors de les voir aller à la traite avec les Anglais. ...

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... Gabriel Sagard, Histoire du Canada, Paris, Claude Sonnius, 1636, p. 932 ; Monumenta, t. II, op. cit., p. 562 ; Monumenta, t. III, op. cit., p. 69. ...

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... Si cela arrivait, nous serions bien heureux52. » La traite est ensuite faite, le 26 mai, mais le résultat est maigre, les Montagnais n’ayant apporté que « quelque quatre-vingts castors53 ». ...

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... En même temps, les Montagnais, les Algonquins et les Hurons pourraient ainsi être empêchés de faire la traite avec les Anglais plus en aval du fleuve. ...

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... Le 3 juin, Champlain quitte Québec pour Sainte-Croix, afin de veiller sur la traite. Il arrive à destination le lendemain, mais comme les Amérindiens ne sont pas encore arrivés, il va, le 5, reconnaître l’île Richelieu. ...

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... La nécessaire consolidation du réseau de traite Le 20 juin, une chaloupe partie de Sainte-Croix accoste à Québec. L’équipage annonce à Champlain que quatorze canots népissingues l’y attendent pour la traite. ...

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... Théodore Bochart du Plessis, le représentant de la Compagnie des Cent-Associés, en a fait un « commis et interprète » de celle-ci64, et Emery de Caën l’a chargé de repartir chez les Népissingues « pour inciter les Sauvages à venir à la traite » l’année ...

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... Indiens et Français dans le Pays d’en Haut, 1660-1715, Québec-Paris, Septentrion-Presses de l’université Paris-Sorbonne, 2017, 2e éd., p. 297-298. 79.  B. Vimont, Relation […] en l’année 1642 et 1643, op. cit., p. 10. 80.  Patrick J. ...