Samuel de Champlain - biographie

Samuel de Champlain - biographie

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... Ils offrent un présent à un Amérindien qui se trouve sur l’île de Montréal, le fils du chef montagnais Anadabijou récemment décédé, ainsi qu’à tous les capitaines des barques des traitants, mais en réservent un beaucoup plus beau – quarante peaux de castors ...

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... Elle permet aussi à Champlain de montrer que la Nouvelle-France est une terre riche, capable de nourrir une population importante grâce aux poissons, au gibier et aux plantes comestibles qui abondent. ...

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... Là, les Autochtones les reçoivent très généreusement, et le petit groupe peut se reposer durant deux jours, en mangeant beaucoup de poissons et de gibier31. ...

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... Ils reçoivent les Français avec générosité, leur offrant « leurs pains, citrouilles et poissons ». ...

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... chapitre 11  • Séjour forcé en Huronie (1615-1616)  391 presque le détroit, y laissant seulement de petites ouvertures, où ils mettent leurs filets, où le poisson se prend66 ». ...

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... Champlain et ses soldats sont fort bien accueillis : on leur offre du gibier et du poisson, ils dorment probablement chez le chef, les gens accourent pour les voir et les guident 101.  Les Œuvres complètes de Champlain, t. I, op. cit., p. 520 ; C. ...

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... quinze millions de livres par an et qu’elle pourrait en rapporter « trois fois autant, tant la mer est fertile, et que « la vente » pourrait se faire « en France, Espagne, Allemagne, et Italie, et autres pays du Levant et du Ponant, moyennant que ledit poisson ...

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... chapitre 12  • En conflit avec la Compagnie du Canada (1616-1620)  435 des martres, castors, renards, loups-cerviers et autres fourrures, avec peaux de cerfs, élans, buffles ». ...

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... Ce serait d’autant plus facile que d’importants profits peuvent être espérés « car, outre la grande manne de ses poissons, ses bois et prés se rempliront bientôt de bestiaux qui vous fourniront abondance de cuirs, graisses et chairs et laitages […], comme ...

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... Il en est de même à propos de leur habitude de mettre le maïs sous la tourbe pendant deux ou trois mois, avant de le griller ou de le faire bouillir avec de la viande et du poisson. ...