Samuel de Champlain - biographie

Samuel de Champlain - biographie

Page 553

... Ils remontent la rivière Richelieu, et sur le lac Champlain, ils rencontrent trois Iroquois occupés à chasser le castor. Ils feignent d’être des amis, mais finissent par les attaquer. ...

Page 561

... Jamais Yroquet, Sauvage connu en ces contrées, qui était venu là avec vingt de ses gens à la chasse aux castors et qui en prit bien cinq cents, ne voulut nous donner aucune marque pour connaître l’embouchure de la rivière [l’entrée du Saint-Laurent]. ...

Page 576

... Elles sont échangées contre des castors entreposés dans le magasin de l’habitation au prix de dix anguilles pour un castor131. Les Montagnais profitent allègrement des difficultés des Français. ...

Page 578

... Les autres faisaient ce qu’ils pouvaient pour prendre du poisson, et faute de filets, de lignes et d’hameçons, nous ne pouvions pas faire grand-chose. ...

Page 581

... Cinq cents robes de castors sont emportées pour payer le passage sur un navire de pêcheurs ou l’hébergement chez Jouan Chou150. Le 15 juillet, c’est le Français envoyé chez les Abénaquis qui est de retour. ...

Page 582

... La pêche du poisson y est abondante, en bars, saumons, esturgeons et autres poissons en grande quantité, comme aussi y est très bonne la chasse des animaux et du gibier152. ...

Page 586

... Trois mille cinq cents à quatre mille castors sont ainsi saisis dans le magasin de l’habitation et trois cents pelleteries le sont dans le couvent des jésuites169. ...

Page 587

... La peau de castor est alors achetée au Canada environ quatre livres (R. Le Blant, « Le commerce compliqué des fourrures canadiennes au début du xviie  siècle », Revue d’ histoire de l’Amérique française, XXVI, 1 (1972), p. 60). 172.  ...

Page 588

... Il leur rachètera alors leurs castors au prix unitaire normal de quatre livres. Guillaume Couillard demande à Champlain ce qu’il en pense. ...

Page 590

... Razilly qui, le 18 février, avait reçu l’ordre de Richelieu de les escorter jusqu’à Québec, en se rendant d’abord au Maroc pour racheter des esclaves français, puis en rejoignant et en longeant les côtes de Virginie « et les lieux où les Anglais font leur poisson ...