Soyons nos maîtres

Soyons nos maîtres

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... . […] Tout compte fait, il faut ne rien négliger de ce qui peut améliorer le sort des ruraux, de ce qui peut aider à retenir sur le sol ne fût-ce qu’une famille d’habitants28. » Il faut comprendre en effet que la période Pelletier s’ouvre sur une grave ...

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... Le journal affiche toutefois dans ses pages nombre de lettres d’appui, dont les plus appréciées proviennent de l’épiscopat. ...

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... La lettre du pape oblige cependant les catholiques pratiquants à jeter un regard négatif sur une idéologie qui menace en Allemagne, et bientôt dans toute l’Europe, la propagation d’une foi à laquelle les élites canadiennes-françaises sont très attachées ...

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... mation des intérêts nationaux du Canada dans la conduite de la guerre, l’autonomie provinciale pour le Québec, le respect de la famille et de l’ordre social chrétien. ...

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... La langue qu’utilise Pelletier et les siens est savante, accessible à peu de lecteurs, et n’est pas faite pour être lue à voix haute en famille, comme cela se faisait parfois dans une société où la masse des citoyens était encore illettrée. ...

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... Et les lettres  ? Là-dessus, notre enseignement date de plus loin, il est plus développé. ...

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... S’ils ne peuvent ni ne veulent plus longtemps l’ignorer, il leur faut des notions d’ensemble que ni les lettres ni les arts ne leur donneront tout seuls. ...

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... L’éditorial qui suit propose, contre toute logique économique, d’établir en trente ou quarante années 100 000 familles sur 10 millions d’acres de terre nouvelle. ...

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... Le cultivateur exploite notre plus grande richesse naturelle ; il tire du sol la subsistance de sa famille et de toutes les classes de la société. ...

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... Dans nos villes, le chômage et la misère étreignent des milliers de familles. ...