... Ses dépenses, quant à elles, consistent essentiellement en traites à l’ordre de diverses personnes, la plupart des parents et amis, dont Agnès Lemoyne de Longueuil, épouse de Joseph Germain, William Grant, Fargues et Berthelot Dartigny. 49. ...
Tarieu de Lanaudière (Les)
... Parmi les dépenses, on note, en 1770, une traite de 20 000 livres à François Baby. Le billet de 12 000 livres de Marchal Sainscy est encore en portefeuille à ce moment. ...
... La fortune des Tarieu de Lanaudière 161 décide qu’une partie du capital sera acquittée annuellement par le tirage au sort d’un certain nombre de numéros de reconnaissances à l’hôtel de ville de Paris, et ce, dès janvier 1766. ...
... La conversion se fait devant notaire, à Paris, entre le 2 juin 1768 et le 15 février 177379. ...
... Dans le traité de Paris, le roi de France s’engage à payer tous les billets et lettres de change, et ce, dans un délai raisonnable. Les autorités britanniques procèdent ainsi à l’enregistrement du papier canadien. ...
... À son avis, ce décret est contraire à ce qui avait été prévu dans le traité de Paris. Une convention est enfin signée entre les deux couronnes quelques jours après la lettre rédigée par Thouron, le 29 mars 1766, et règle cette question litigieuse. ...
... L’abolition des congés de traite, l’âge de Charles-François et la forte compétition des Britanniques peuvent expliquer en partie cet état de fait92. ...
... Tandis que Louis s’engage à monter lui-même dans les pays d’en haut pour y traiter et échanger les marchandises de la société avec les « sauvages », Charles-Louis s’occupera de recevoir et de vendre les fourrures à partir de Montréal. ...
... La deuxième année, de Lanaudière est tenu, suivant l’acte notarié du 15 juin 1769, de faire venir de Londres les marchandises nécessaires à la traite. Il semble toutefois y avoir dérogé. ...
... Même si Charles-Louis a, selon toute apparence, mis un terme à sa participation dans la traite des fourrures, ce n’est pas sa seule incursion dans le commerce. ...