Téléroman québécois (Le)

Téléroman québécois (Le)

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... Car elle voit en lui le représentant d’autres valeurs qu’elle cherche et que sa famille ne lui donne pas. ...

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... prévisible et espérée, pour soutenir l’idéologie de marginalisation de la famille. Sa fuite est vue comme une irresponsabilité. ...

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... salon de la famille est refusé à Jim, on le met à la porte comme un paria parce qu’il éprouve un sentiment amoureux pour Adélie. Méprisé, il est rapidement accusé de méfait ; la méfiance est généralisée. ...

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... Tout au long des événements, le petit groupe de familles du plateau 1.  émissions de 60 minutes ont été tournées en couleur à compter Les de 1967, alors que le téléroman avait débuté en noir et blanc avec des émissions de 30 minutes, en 1956. ...

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... Ce fils aîné manquant prive la famille d’une ressource essentielle à sa survie à long terme et oblige la fille aînée à se substituer au fils. ...

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... Dans cette situation imposée à une jeune fille, si belle, et qui évolue dans un milieu agricole pauvre, sans doute que l’image de la femme-esclave de la famille n’est pas adéquate. ...

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... C’est ce qu’a réalisé Noël Audet, au grand plaisir d’abord des membres de sa famille, ensuite des Gaspésiens, enfin des Québécois, qui retrouvent dans son cheminement leur propre questionnement sur la vie, l’amour et la mort2. » 2.  ...

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... Image du couple et ressources de l’action féminine Outre la dimension sociopolitique traitée sous l’angle de la conquête d’une nouvelle identité régionale, dans cette télésérie le destin des familles et la vie intime des couples font état de nombreuses ...

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... Grâce à la volonté et aux astuces de Pauline, grâce au travail de son mari, Noum Guité, un nouveau monde se construit où la femme n’est plus la domestique de la famille. ...

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... celles que La Famille Plouffe et Rue des Pignons avaient mises en circulation. ...