... Entre autres, François Lemercier rapporte comment la Vierge elle-même prit soin des enfants de Marie Haslé pendant que la jeune femme faisait ses dévotions à la chapelle. ...
tentation de l'épopée dans les Relations des jésuites (La)
... Marie-Aimée Cliche a montré que la foi en l’intervention des forces surnaturelles était bien tenace en Nouvelle-France, malgré un certain scepticisme affiché par l’Église (Les Pratiques de dévotion en Nouvelle-France, Québec, Presses de l’Université Laval ...
... L’on rapprochera ces exemples tirés çà et là du passage de la Relation de 1653 cité au chapitre précédent : « Le Fils de Marie […] écarta les balles des ennemis, et dirigea si bien celles des François qu’ils renverserent quantité des Assiegeans, et mirent ...
... François Xavier, luy promettant de faire porter son nom à cette pauvre creature, s’il luy plaisoit de luy obtenir autant de force qu’il estoit necessaire pour recevoir le Baptesme. Chose étrange ! ...
... , et à qui nous tesmoigneroit de l’affection : l’un d’eux disoit que les François n’étans plus icy, la terre n’estoit plus terre, la riviere n’estoit plus riviere, le ciel n’estoit plus ciel ; mais qu’au retour du sieur de Champlain tout estoit retourné ...
... Dans la Relation du pays des Hurons, François Lemercier ne manque pas de confondre avec véhémence le calomniateur des jésuites : Je serois trop long de rapporter icy les chefs de son accusation, qui consistoient en je ne sçay quels sortileges pretendus ...
... Dans leurs compliments, Hurons et Algonquins s’adressent successivement à Monseigneur de Laval et à Monsieur de Tracy comme à des protecteurs : O Hariouaouagui, fais vivre tes pauvres enfans, qui sont aux abois (RJ, 1659, p. 4). ...
... ’ nies officielles après l’arrivée de monseigneur de Laval, lors même que Jérôme Lalemant introduit l’émissaire de la nation huronne : « Le premier qui harangua, fut un des plus anciens Hurons, qui s’étendit ...
... De même, le discours du capitaine huron à l’intention de Monseigneur de Laval était, selon Jérôme Lalemant, « d’autant plus touchant qu’il representoit naifvement les derniers soupirs d’une nation mourante » (RJ, 1659, p. 4). ...
... Dans cette optique, on ne doit guère s’étonner si les Relations ultérieures ne font nullement mention des rivalités de pouvoir qui existaient au sein du clergé, notamment entre les partisans de Monseigneur de Laval et de l’abbé de Queylus (Jeanne-Françoise ...