... ), les aléas de la communication font qu’il n’est pas toujours aisé de saisir les motivations précises des remarques chargées de mystère, de reproches, de questionnements que contiennent certaines lettres. ...
Ton kaki qui t’adore
... Lettres de l ’Ouest canadien r 97 une femme s’imagine être aimée pour elle-même. […] Tout n’est que ruse et mensonge. » Le lendemain, elle poursuit dans la même veine. 21 novembre 1944 .PODIÊSJ 5VBTEÚSFNBSRVFSVOQFVEFSÊUJDFODFEFNBQBSUEBOT ...
... Lettres de l ’Ouest canadien r 99 FWJOFSDFRVJUЅPQQSJNF JMNFGBVESBJUTBWPJSDFRVFUЅBEJU E 'MFVSFĪFPVDFRVFUVBTWVEBOTHold Back the Dawn 4JKFTBWBJTRVFMMFTTDÍOFTPOUGBJUHFSNFSFOUPJDFTSÊĚFYJPOT FUDFTDPOTUBUBUJPOT KFQPVSSBJT ...
... Lettres de l ’Ouest canadien r 101 santes 3, Jeannine a pu laisser libre cours à son imagination et douter de la sincérité de son fiancé – et des hommes en général. ...
... Désirer L’appétit charnel -BOVJUKЅBJEFTSËWFTJOEJDJCMFT MFKPVSEFTQFOTÊFTJOBWPVBCMFT L Gérard, 8 novembre 1943 ’expression des besoins charnels occupe une place importante dans les lettres de Gérard, surtout dans la période de Petawawa et ...
... forme matérielle aux rêves de chair, poussés parfois jusqu’au délire fantasmatique, c’est exprimer, dans les limites imposées par les convenances, un imaginaire érotique bridé. « Les mots ont pour moi une grande puissance évocatrice », note-t-il dans sa lettre ...
... Gérard signale dans une lettre de novembre 1944 que l’armée se préoccupe de l’hygiène sexuelle de son personnel en organisant des conférences et des projections de films sur les maladies vénériennes. ...
... Lettres du retour G Décembre 1944 – juillet 1945 érard quitte Chilliwack le 2 décembre 1944 pour revenir au Québec. Il téléphone et écrit à Jeannine une fois arrivé à Montmagny, le 8 décembre. ...
... Il note dans sa lettre du 28 mai que le 20 mai 1944 correspond à son millième jour d’armée et le 29 juillet, « affranchi du kaki », à la fin de son martyre. Deux courts ...
... Lettres de retour r 119 NF EJSBT VOF DIPTF RVJ NF CMFTTFSB KF UF EFNBOEFSBJ VOF FYQMJDBUJPOUPVUEFTVJUF NËNFEFWBOURVJO[FWJOHUQFSTPOOFT $FMBWBVUNJFVYRVFQMFVSFS EJT 4PNNFTOPVTEЅBDDPSE /PVTEFWPOTOPVTFOUFOESFBWBOUEF ...