Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

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... Pendant des mois, Ottawa et Paris mettent au point un programme d’échanges et de discussions, pour préparer, en janvier  1964, la visite officielle du nouveau premier ministre Lester B. Pearson à Paris. ...

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... 236  Le Triangle québec-ottawa-paris À la fin de la réunion du conseil du 23 octobre 1963, pendant laquelle Malraux avait longuement expliqué ses idées sur le Québec, le célèbre écrivain avait conclu : « La France a une grande partie à jouer. ...

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... Après quatre années au ministère à Ottawa pendant la grande décennie de succès de la diplomatie canadienne, Jules Léger est nommé ambassadeur à l’OTAN, à Paris ; il sera plus tard ambassadeur à Rome, avant de revenir à Paris, à l’été 1964, comme ambassadeur ...

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... Le triangle Paris-Ottawa-Québec se prépare. Tout ce qui suivra n’en sera que la démonstration, année après année. ...

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... , c’est-à-dire depuis l’ouverture du premier consulat français à Québec, sous Napoléon III en 1859, est sur le point de subir une altération historique, puisque l’année 1965 va se caractériser par l’apparition ouverte d’un rapport triangulaire entre Paris ...

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... Chapitre 12 1965, l’année des premiers affrontements triangulaires : Jean Chapdelaine et Jules Léger L ’ouverture d’une maison du Québec et le voyage de Jean Lesage à Paris, en octobre 1961, n’avaient pas vraiment changé la relation bilatérale franco-canadienne ...

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... 1965, l’année des premiers affrontements triangulaires  241 Contrairement à leurs prédécesseurs Philippe Roy, Georges Vanier, Pierre Dupuy et Jean Désy, qui passeront toute leur vie professionnelle loin d’Ottawa et qui seront tous chefs de mission à Paris ...

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... En tant qu’ancien conseiller juridique du ministère et à titre de sous-secrétaire d’État, toute tentative par le Québec de profiter de sa présence à Paris pour traiter directement avec les autorités françaises, sans que l’ambassade soit informée ou consultée ...

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... Il convoque donc l’ambassadeur de France pour lui rappeler que le gouvernement fédéral ne peut, ni ne veut, être court-circuité par aucune province, lorsqu’il est question de traiter avec un État étranger, même s’il s’agit d’un pays ami comme la France ...

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... La preuve n’est-elle pas faite que le Canada, à Paris, peut et doit aider le Québec ? ...