Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

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... En résumé, avant 1882, la librairie Bossange agit un peu comme le consulat officieux du Canada à Paris. » — Sylvain Simard, ancien ministre des Relations internationales du Québec, Mythes et reflets de la France, Presses de l’Université d’Ottawa, 1987 ...

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... Le mariage suit, à Montréal, même si le jeune Français a prévenu la famille de sa femme qu’elle devra l’accompagner un jour à Paris, ce qui se produisit en 1819. ...

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... 32  Le Triangle québec-ottawa-paris Pour Julie, le Paris de la Restauration représente un milieu en pleine ébullition, où il lui est difficile de s’adapter au début, malgré que la famille Bossange appartienne à la classe bourgeoise et dispose d’une maison ...

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... Il part. Il vivra quatre années à Paris, séjour sur lequel peu d’informations sont disponibles. ...

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... L’adresse de la galerie Bossange, au cœur de Paris, est connue pourtant ; c’est une sorte de consulat canadien à Paris, où l’on peut convertir ou emprunter de l’argent, obtenir de l’information, retrouver quelques compatriotes. ...

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... Papineau annonce à sa femme, le 22 juillet 1823, qu’il quitte Londres pour Paris. ...

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... 36  Le Triangle québec-ottawa-paris diplomates de carrière. Julie Fabre-Bossange vécut ainsi de nombreuses décennies à Paris. Sa correspondance démontre que son pays d’origine et sa famille lui ont beaucoup manqué. ...

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... Pour les Canadiens de langue française, après la chute de Napoléon, une mobilité plus grande est désormais possible et Paris les accueille, de plus en plus nombreux. ...

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... Mais l’abbé Desjardins a des problèmes de santé et il rentre à Paris lors de la Paix d’Amiens en 1802. Son frère Joseph demeure, quant à lui, au Canada. ...

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... Il est, lui aussi, à sa manière, un « quasi-consul » du Canada à Paris. Il rend service à tous, du mieux qu’il peut. ...