Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

Triangle Québec-Ottawa-Paris (Le)

Page 343

... Diori proposait des textes solides aux diverses délégations et avait préparé les clauses d’un traité pouvant être signé. ...

Page 344

... 344  Le Triangle québec-ottawa-paris l’aurait voulu. L’Agence ne devait pas être un autre « machin », ambitieux et coûteux, d’autant plus que Paris serait le principal contributeur financier. ...

Page 345

... Cette nouvelle ne plaît pas à Paris, qui avait envisagé une démarche similaire, avant que Pompidou ne tranche : la France irait à Niamey et agirait sur place en faveur du Québec. Morin devra donc se rallier à la position française. ...

Page 346

... 346  Le Triangle québec-ottawa-paris péripéties. ...

Page 347

... Il avait imposé cette formule au sein des conférences des ministres de l’Éducation, à Kinshasa, à Paris et à Nouakchott, ainsi qu’à Niamey en 1969. ...

Page 348

... En un mot, c’est le Canada et non pas un traité international, ni Paris ou l’Afrique, qui permettrait au Québec de participer à la francophonie internationale. ...

Page 349

... La « guerre diplomatique » est terminée  349 une certaine distance avec Paris et promettant un financement accru pour leur développement, en provenance du Canada, de la Belgique, du Luxembourg, de la Suisse, entre autres pays entièrement ou partiellement ...

Page 350

... 350  Le Triangle québec-ottawa-paris internationale, à un moment où Charles de Gaulle n’était plus au pouvoir. Gérard Pelletier avait su se montrer convaincant. ...

Page 351

... accompagné par Black, l’hôte, Paul Tremblay, nouveau sousministre adjoint aux Affaires extérieures à la suite du départ de Marcel Cadieux, récemment nommé ambassadeur à Washington, et de John Halstead, directeur de l’Europe et prédécesseur de Pat Black à Paris ...

Page 352

... 352  Le Triangle québec-ottawa-paris possible. Ce qui était fait l’était, et sans doute fallait-il tourner la page et éviter de revenir en arrière. ...