... elle recevait de l’aide financière de la famille. Elle avait loué un petit deux-pièces et demie de la rue Saint-Jean, près du carré d’Youville, à courte distance de son lieu de travail. ...
Un Bleu du Québec à Ottawa
... Après délibération avec ses parents, et à la suggestion de je ne sais qui, maman opta pour un camp de vacances qui s’appelait « Les Grèves de Contrecœur », dirigé par une œuvre de bienfaisance de Montréal au bénéfice de jeunes appartenant surtout à des familles ...
... Mon élection à Ottawa provoqua une lettre de sa part dans laquelle il me disait que sa prédiction s’était réalisée, et me faisait ses vœux pour une fructueuse carrière. ...
... Davie, de la famille des propriétaires des chantiers maritimes de Lauzon. Tout alla très bien cet été-là, si bien que tante Amélie, de concert évidemment avec son mari, décida d’acheter la propriété avec l’héritage reçu de son père. ...
... De l’autre côté, le cours classique comprenait six années, soit la syntaxe, la versification, les belles-lettres, la rhétorique et les deux années de philosophie. ...
... Il m’avait offert mon premier livre de lecture, les Lettres de mon moulin, d’Alphonse Daudet. Je me rappelle mon plaisir à lire et à relire La Chèvre de monsieur Seguin. ...
... Le meilleur souvenir que je conserve de mes six années à SainteAnne est celui de ma dernière année, soit celle des belles-lettres. ...
... Enfin, avec maman, je vivrais normalement une vie de famille, ce que je n’avais pas connu depuis mon départ de Saint-Hyacinthe en 1922. ...
... À la suite à ces entrevues, je me rends chez le recteur, monseigneur Camille Roy qui, je le savais, était un ami de la famille et avait bien connu papa. Je lui raconte mon aventure et mes démarches subséquentes. « Je vous ferai signe », me dit-il. ...
... 45 rue Hamel, un petit journal de potins de la famille dont le titre était Le Censeur. À l’époque, il n’existait pas d’école de journalisme ; on apprenait sur le tas. ...