Une force tranquille

Une force tranquille

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... Je veux parler de tous les électeurs et électrices du comté de Saint-François, que je remercie de m’avoir fait confiance et qui m’ont élue et réélue pendant 27 ans. ...

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... J’ai donc entrepris mes études à temps partiel, par les soirs et les fins de semaine, pour obtenir ce bac de l’Université Laval. Je me rendais au collège de Victoriaville pour assister à ces cours, et parfois le samedi à Drummondville. ...

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... J’ai été membre du conseil d’administration de la Commission des services juridiques de Saint-François et j’ai participé aux réunions de l’Association des notaires du district de Saint-François. ...

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... D’abord, au référendum de mai 1980, j’ai été présidente du Non dans le comté de Saint-François. J’ai probablement été choisie en raison de ma participation précédente à Québec-Canada. ...

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... J’avais constaté que l’association libérale de Saint-François n’avait pas une organisation très forte. J’ai alors décidé de m’engager comme présidente pour monter une structure en vue de la campagne électorale de 1985. ...

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... C H A P I T R E 2  Une première fois ministre D ans une lettre datée du 23 octobre 1984, Robert Bourassa me confirmait candidate officielle du Parti libéral du Québec dans le comté de Saint-François. ...

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... Le comté de Saint-François ayant été créé en 1973, son territoire comprenait à l’époque les villes d’Ascot Corner, de Fleurimont, de Lennoxville, de Compton et d’Ascot Canton, en plus de l’est de la ville de Sherbrooke. ...

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... travail de comté B ien que le premier ministre Bourassa m’ait fait le privilège de me nommer ministre dès ma première élection, toutes mes activités à ce titre ne doivent pas faire oublier qu’à la base j’étais avant toute chose députée du comté de Saint-François ...

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... * * * Très rapidement après mon entrée en fonction, je me suis lancée dans trois dossiers qui empoisonnaient la vie de nombreux citoyens : la gravière Saint-François, les Papiers peints Berkley et le réacteur nucléaire ...

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... Plusieurs citoyens de Fleurimont-en-Haut se plaignaient du sable et de la poussière provenant de la gravière Saint-François depuis de nombreuses années. Ils étaient incapables de s’asseoir sur leur balcon pour manger à l’extérieur. ...