... Par le traité de Paris du 10 février 1763, Louis XV, roi de France, George III, roi d’Angleterre, Charles III, roi d’Espagne, Joseph Ier, roi du Portugal, mettent fin à la guerre de Sept Ans. ...
Une histoire du Québec racontée par Jacques Lacoursière
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... 1760, le général Jeffery Amherst prêche la bonne entente. « Comme il est expressément enjoint aux troupes de vivre avec l’habitant en bonne harmonie et intelligence, lit-on dans son placard, nous recommandons pareillement à l’habitant de recevoir et de traiter ...
... Tant qu’un traité de paix ne sera pas signé, le territoire ne peut être considéré comme cédé définitivement à l’Angleterre. Cela explique, en bonne partie, que les dirigeants ne prendront pas de décisions très importantes. ...
... Le sort de l’ancienne colonie française est réglé définitivement le 10 février 1763, à Paris, par la signature d’un traité de paix rédigé en langue française. ...
... Or l’autorité britannique, en vertu du Traité de Paris de 1763, est une autorité légalement établie. Cela signifie que l’on ne peut prendre les armes contre Sa Majesté. ...
... Le 3 septembre 1783, un traité de paix met fin au conf lit entre la Grande-Bretagne et les États-Unis. ...
... Ne voyez-vous pas que, dans les conditions actuelles, il y a cinquante à parier contre un que les Canadiens n’éliront pas un seul Anglais ? ...
... À Paris, des révolutionnaires présentent des mémoires demandant que l’on reprenne un territoire que la royauté a abandonné. ...
... Cela signifie que l’exploitation forestière remplacera, en bonne partie, la traite des fourrures. Les Canadiens se transformeront donc en bûcherons. L’Outaouais devient la première région à exploiter. ...
... Macdonald, qui assiste aux débats, ou à l’absence de débats, écrit : « L’Union a été traitée comme s’il s’agissait d’une association de deux ou trois paroisses. » Le 29 mars, la reine Victoria accorde la sanction royale au British North America Act. ...