... au français de Paris pour avoir un nouveau moyen commun d’expression. ...
Ursulines de Québec (Les)
... Mais il fallait aussi être en mesure de communiquer avec les Hurons qui avaient confié quelques filles aux Ursulines et paraissaient de temps à autre à Québec au temps de la traite. Mère Marie de Saint-Joseph se spécialisa dans la langue huronne. ...
... Sur la scène paraissaient des gentilshommes, des paysans, des médecins, des suisses, des biscayens, des hommes de loi, des gens de justice, des pages, des gitans (que l’on appelait des égyptiens), des « sauvages »... et la scène était à Paris. ...
... Le couvent de Tours et celui de Paris, pas plus que celui de Québec, n’étaient des institutions destinées à préparer les élèves à des examens. ...
... Dans le contrat de fondation du monastère, signé à Paris le 28 mars 1639, les Ursulines s’étaient engagées à se vouer à la formation chrétienne des filles amérindiennes : [Elles] sont tenues à perpétuité à instruire les petites filles sauvages de la Nouvelle-France ...
... alors que les contacts étaient rares tant qu’ils demeuraient dans leur pays d’origine, sur les bords de la baie Georgienne, entre le lac Simcoe et le lac Huron, et ne paraissaient à Trois-Rivières ou Québec qu’une fois par an, avec la flottille de la traite ...
... La communauté était formée de religieuses de deux familles différentes qui restaient juridiquement étrangères, alors même qu’elles avaient, à leur arrivée à Québec, adhéré à un traité d’union pour que la mission puisse être menée à bien. ...
... À ce moment, le monastère regroupait des religieuses en provenance de quatre diocèses (Tours, Paris, Rouen, Vannes) ; les lettres épiscopales d’obédience pour chacune des religieuses suffisaient à donner à chacune prise individuellement une situation ...
... La question de l’obtention de bulles pontificales se posait à nouveau si l’on voulait faire quelque chose de différent soit de la congrégation de Bordeaux, soit de celle de Paris (qui chacune possédait leurs bulles d’érection). ...
... Il n’y a pas de différence de traitement entre les diverses catégories d’« écolières » ; en 1647 les externes ne sont pas encore suffisamment nombreuses pour que l’on adopte les usages des monastères de France où elles sont « séparées de classe et de ...