... Le futur sénateur Jacques Hébert avait à l’époque publié non pas un, mais deux livres proclamant l’innocence de Coffin, ce qui lui a valu d’être à son tour poursuivi en justice. Et qui donc l’a défendu en cour ? ...

Vices, scandales et corruption
... Mes hommages à Jacques Beauchamp, qui a introduit tant de souplesse et de finesse dans cette émission. ...
... J’aime les nuits de Montréal… » Ainsi le chantait avec désinvolture Jacques Normand, avec les mots de Jean Rafa sur une musique d’Émile Prud’homme. Et la reine de ces fameuses Nuits de Montréal n’était nulle autre que Lili St-Cyr. ...
... Pourtant, l’animateur Jacques Normand, qui la croise régulièrement au Gayety et au Faisan doré, écrit à son sujet plusieurs années plus tard qu’« elle n’était pas une femme heureuse. Cela se voyait dans ses yeux. ...
... Jacques Hébert et la commission Brossard Wilbert Coffin est finalement pendu à la prison de Bordeaux, à Montréal, le 10 février 1956. Ce n’est toutefois pas la fin de l’histoire. ...
... Jacques Hébert répondant aux questions de René Lévesque en janvier 1960. On comprend donc que Jacques Hébert s’intéresse à l’affaire Coffin parce qu’elle sert son propre combat contre la peine de mort. ...
... Jacques Hébert bénéficie toutefois de l’appui des milieux intellectuels. ...
... Qu’est-ce qu’il faut retenir du travail de Jacques Hébert ? Que c’est un polémiste talentueux, qu’il était visionnaire dans ses efforts pour faire abolir la peine de mort, mais qu’il n’a pas été assez rigoureux ni précis, sur les faits eux-mêmes. ...
... Jacques Hébert, Coffin était innocent, Montréal, Éditions de l’Homme, 1958. Jacques Hébert, J’accuse les assassins de Coffin, précédé de Une petite autopsie de l’affaire et suivi de Trois jours en prison, Montréal, Éditions Domino, 1980. ...
... Chanson Lucien Rivard interprétée par le fantaisiste Jacques Desrosiers sur l’air de Jack Monoloy de Gilles Vigneault. 75 ...