Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune. Deuxième édition (La)

Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune. Deuxième édition (La)

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... Ils avaient » conservé des mots comme la «  brunante  (tombée du jour), » «  blonde  (fiancée), «  » magané  (endommagé) et des «  » chaussées  (barrages) de castors. ...

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... Le cook, Ernest Lapointe, ne s’était pas fait prier pour cuire les poissons. Tous les hommes avaient apprécié ce repas, pêché par Cyrille Prud’homme et Lionel Beaulieu. ...

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... castors. Ils en virent au moins trois. Sur le haut de la montagne, les hommes crurent apercevoir leur camp. Sûrs d’eux, ils repartirent dans cette direction. Ils ne connaissaient pas encore ce territoire. ...

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... Ils étaient allés chercher un castor pour abattre le chicot. Le trappeur racontait aussi qu’il avait apprivoisé une truite. Elle revenait, jour après jour, à la même heure et à la même place. Il la nourrissait. ...

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... Il tira, tira, tira sans relâche… Épuisé, il prit alors son couteau, coupa le poisson dont il ne put jamais dire la longueur exacte. ...

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... la ceinture Catin : poteau sur la sleigh qui retient le bois Chaise de barbier : mouvement de recul d’un gros arbre trop penché qui fend avant d’être complètement coupé Charroyage : transport des billots ou des pitounes Châssis : fenêtre Chaussée de castors ...