Vie libertine en Nouvelle-France au XVIIe siècle (La)

Vie libertine en Nouvelle-France au XVIIe siècle (La)

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... Jusqu’à la fin du xviie siècle, la course au castor entrave l’expansion agricole de la colonie. La population des villes n’est pas assez nombreuse pour créer un marché où s’écoulerait l’excédent de la production agricole. ...

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... Raymond Douville, « Jacques Larguillier dit “le castor” », Les Cahiers des Dix, no 29, p. 62. 26.  Collection de manuscrits contenant lettres…, op. cit. ...

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... Le père Carheil en informe le gouverneur de Montréal. « Les femmes indiennes, écrit-il, ont appris que leurs corps peuvent tenir lieu de marchandises, et qu’ils seraient encore mieux reçus que le castor, de sorte que c’est là présentement le commerce ...

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... Raymond Douville, « Jacques Larguillier dit “le castor” », op. cit., no 29, p. 62. 47.  ...

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... Une bonne part de la population masculine est constamment dans les Hauts, à la course au castor. Comment homme et femme peuvent-ils se fréquenter assidûment dans un climat de perpétuel déplacement ? ...

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... Cet organe du castor est une véritable panacée pour l’Indien de l’Amérique septentrionnale. Plusieurs textes anciens en font mention. ...

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... Dans les circonstances, ce commerce clandestin profite autant aux trafiquants de castor qu’aux amoureux53. Pierre Payet dit Saint-Amour, dont il est maintes fois question au cours des dépositions précédentes, habite à la Côte Saint-Jean. ...

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... Une couple de jours plus tard, la Maheu se rend chez le déposant pour « lui apporter quelques castors qu’elle lui dit avoir eus du Patron pour quelques voyages que son mari avait faits pour lui ». Rien de louche encore. ...

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... Maintes fois, il préfère l’incertitude de la course au castor à la stabilité de l’établissement rural. Pourquoi ? L’agriculture québécoise n’est pas complémentaire de l’agriculture française. ...

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... Tant que les castors durent, rien ne coûte à nos marchands. Vous seriez même étonnés de la dépense qu’ils font en habits. ...