Vie quotidienne dans la vallée du Saint-Laurent 1790-1835 (La)

Vie quotidienne dans la vallée du Saint-Laurent 1790-1835 (La)

Page 8

... La construction et la rénovation résidentielles sont soumises à de telles pressions que de nombreuses familles de huit, neuf et même dix personnes doivent s’entasser dans des petits logements ou des petites maisons d’à peine 37 mètres carrés (400 pieds ...

Page 13

... La vue sur l’escalier qu’offre le hall doit témoigner de la fortune et du rang social des propriétaires et indiquer de façon manifeste la présence, au deuxième niveau, d’autres pièces généralement réservées à l’usage de la famille. ...

Page 15

... Manoir Caldwell Manoir construit à la fin du xviiie siècle par une famille d’hommes politiques, d’entrepreneurs et de propriétaires fonciers, les Caldwell. ...

Page 16

... D’abord, parce que le groupe paraît beaucoup plus hétérogène et les fortunes plus disparates : certains métiers suffisent à peine à faire vivre une famille alors que d’autres procurent une relative prospérité ; ensuite, parce que la proportion de locataires ...

Page 24

... ☞ les lits de la famille sont réunis dans une seule pièce, sans aucun doute dans le but de profiter au maximum de la chaleur du foyer ou du poêle durant l’hiver, une attitude qui perdurera encore longtemps51. ...

Page 26

... famille, lieux pour les réceptions mondaines, lieux pour le travail, lieux pour le repos ou les relations intimes sont autant d’acquis qui datent déjà d’un siècle dans une bonne partie des maisons de l’élite en France et en Angleterre. ...

Page 27

... À ces changements correspondent de nouvelles façons d’habiter, de nouvelles relations entre les membres d’une même famille, bref, de nouveaux comportements dont l’analyse va bien au-delà des limites de ce survol de l’habitation58. ...

Page 35

... Lettre de madame Bégon à son gendre, commissaire-ordonnateur à la Louisiane, le 26 décembre 1748. Correspondance de madame Bégon, née Rocbert de la Morandière, RAPQ, 1934-1935, p. 20. ...

Page 45

... Tel est le cas du chimiste suisse François-Pierre Ami Argand (1750-1803) qui travailla à Paris et qui obtint en 1784 un brevet du gouvernement anglais pour son brûleur de lampe dont il avait un urgent besoin pour ses expériences de distillation et de ...

Page 46

... Le bois, l’étain et le fer-blanc, les matériaux les plus répandus, étaient souvent remplacés par le cuivre et l’argent dans les familles les plus aisées. Les plus raffinés étaient habituellement achetés par paire. ...