Vivre la Conquête, tome 2

Vivre la Conquête, tome 2

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... Esther s’avéra être une bonne élève et la quiétude de la vie au couvent semblait lui convenir malgré les blessures ressenties par l’absence de lien avec sa famille d’origine. ...

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... Ceux-ci remettent à Esther des lettres de ses parents qui l’implorent de revenir à la maison. À l’été 1711, il la conduit même à Montréal afin qu’elle fasse partie des contingents de captifs qui retourneront en Nouvelle-Angleterre. ...

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... Les contacts avec sa famille auraient repris vraisemblablement en 1747, alors que sa mère lui annonce le décès de son père. ...

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... E unice Williams est née à Deerfield (Massachusetts) le 17  septembre 1696 dans une famille profondément puritaine. ...

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... A Family Story from Early America1. En 2008, les Presses de l’Université Laval publiaient une traduction sous le titre Une captive heureuse chez les Iroquois. Histoire d’une famille de Nouvelle-Angleterre au début du xviiie siècle. ...

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... Pour la famille Williams, l’inquiétude et l’espoir se confondent. Le traité d’Utrecht a réconcilié les parties. Vaudreuil, préoccupé du sort d’Eunice, assure qu’il a tenté à plusieurs reprises d’obtenir son rachat. ...

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... L’attribution de nouveaux noms en est une, le regroupement des familles en est une autre. Évidemment, la grande liberté dont jouissent les enfants contribue également à les apprivoiser. ...

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... Il faudra attendre août 1740 pour qu’elle se décide enfin à visiter sa famille. Les trois frères Williams iront à sa rencontre à Albany. ...

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... Lettre citée par Demos, 2009, p. 273. ...

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... , 414, 415, 416 n 25-26, 532, 533 ; relations avec Roubaud, 164, 165, 166, 167, 168 ; capitulation de Montréal, 65, 67 ; et les communautés de filles, 66, 235 ; et les Acadiens, 67, 68 ; utilisation de la variole, 177 ; le papier-monnaie, 179 Amiot, famille ...