Vivre la Conquête, tome 2

Vivre la Conquête, tome 2

Page 230

... Charles-François de Lanaudière a su profiter du régime de faveurs et de privilèges adopté par les autorités coloniales britanniques aux lendemains de la signature du traité de Paris et réservé encore en partie aux membres de l’ancienne élite. ...

Page 232

... de Paris, il n’est pas encore question d’un retour, même si son nom figure sur le passeport qu’obtient son père en 1763. ...

Page 236

... Ils font venir de Londres, de Jean et Robert Stenhouse, les marchandises nécessaires à la traite. ...

Page 244

... Le mariage de Taschereau permet également de constater que les pratiques des élites qui avaient cours sous le Régime français perdurent après la signature du traité de Paris. ...

Page 253

... En vertu du traité d’Utrecht, en 1713, l’Acadie avait été cédée à l’Angleterre, mais les Français estimaient que le territoire se trouvant au nord-ouest de la rivière Missaguash leur appartenait. ...

Page 262

... Déjà, on aurait remarqué chez la jeune Esther des traits de caractère distinctifs, une intelligence vive et de la détermination. Dès 1702, les rumeurs d’attaque sur Wells s’amplifièrent. ...

Page 264

... Julie Wheelwright affirme que, même si John Wheelwright avait les liens politiques pour demander un traitement particulier pour régler le sort de sa fille, il n’en usa pas7. ...

Page 268

... Avec la signature du traité d’Utrech en 1713 qui permettait aux prisonniers de guerre de retourner dans leurs communautés, on craignait le départ d’Esther qui était désormais libre de rentrer à Wells14. ...

Page 275

... Tout au long du trajet, chacun avait été traité et nourri du mieux possible, admet le pasteur Williams. Quant à Eunice, il notera qu’elle avait été portée pendant tout le voyage et qu’on avait 8.  ...

Page 276

... Après huit semaines de captivité, Vaudreuil le fait venir à Québec et le traite avec respect. ...