... Peaux de bisons peintes des Indiens d’Amérique du Nord, Musée de l’Homme, Paris, 1993, 141 p. 47 ...
Voyage au coeur des collections des Premiers Peuples
... À Paris, chez Saugrain l’aîné, Charles-Estienne Hochereau, tome II, p. 154. ...
... Par son traitement naturaliste et descriptif, la sculpture inuit affichait aux yeux de Brochu un effort de synthèse réussi, mais elle avait également une valeur artistique indéniable qui pourrait servir au rayonnement et à la renommée du Nouveau-Québec ...
... Les acquisitions provenant de Puvirnituq (autrefois Povungnituk) ont été traitées différemment puisqu’elles ont été en bonne partie sélectionnées par d’autres intervenants associés à la Coopérative de Povungnituk, incidemment par madame Thérèse Le Vallée ...
... La pensée magique y rencontre le tangible par la représentation d’un être mythologique réincarné dans la pierre et l’exécution fidèle des traits de l’animal. ...
... Les alliances franco-indiennes (1603-1760) Peu nombreux à émigrer vers la Nouvelle-France, les Français, attirés d’abord par les pêcheries, se sont ensuite intéressés à la traite des fourrures. ...
... La recherche de la mer de l’Ouest, la traite des fourrures et l’expérience de la liberté entraînent les Européens toujours plus loin vers l’intérieur du continent. ...
... , rejoints par d’autres Abénaquis à Bécancour (Wôlinak) des Iroquois à ; Laprairie, puis au Sault-Saint-Louis (Kahnawake), d’autres au fort de la Montagne, puis au lac des Deux 85 Louise Dechêne, Habitants et marchands de Montréal au XVIIe siècle, Paris ...
... On peut ainsi parler de cohabitation harmonieuse. ...
... Pourtant, à la signature du traité de Paris, le 10 février 1763, la population totale de l’Amérique française (amputée de l’Acadie depuis 1713) est d’à peine 70 000 habitants d’origine européenne. ...