... Il a bien fallu contenter Fénis sur le même air : Ma belle Chevalière (c’est son nom de famille), Adieu jusques au retour. Mon tendre cœur espère De vous revoir un jour. Je conserve en moi-même ...
Voyages aux Amériques
... . — Trois ou quatre sauvages127 ont apporté des lettres. Il y en a deux pour moi du commandant du Port-Royal128. Elles disent de me défier des Anglais qui croisent au passage avec des forces supérieures. L’arrière-saison me rassure. ...
... Nous ne l’épargnons point, ne pouvant faire trop de honte à un homme qui a hasardé lui, sa femme et sa famille pour un moment d’une débauche outrée où un homme de goût ne peut sentir un véritable plaisir. ...
... En arrivant ici, j’ai retranché en famille la rasade fondée à votre santé, c’était un tendre engagement. ...
... Chaque famille y a plus de terrain qu’il ne lui en faut pour être plus qu’à son aise, pour peu qu’elle ne soit pas fainéante. ...
... Cette famille est alors (et encore aujourd’hui) très connue en NouvelleFrance pour en être la plus ancienne famille noble. ...
... Repassant les lettres que je vous ai écrites, j’ai trouvé une chanson sur cet air-là. Il y a longtemps que je n’ai rien chanté en votre faveur. La circonstance même n’est pas favorable. ...
... Navigation de Ponant Journal de la navigation du Profond Le sieur de Voutron à bord du Profond 7 février 1707 Monseigneur, Quoique je me sois donné l’honneur de vous écrire deux lettres de Plaisance, comme elles peuvent s’être perdues, je crois qu’il ...
... Les sauvages m’apportèrent deux lettres de M. Bonnaventure, datées de juillet et d’août. Elles m’avertissaient de me défier de deux frégates anglaises, l’une de cinquante canons, l’autre de 20. ...
... Astier (famille), 19 ; (Marie-Françoise), voir Voutron (Marie-Françoise de) ; (Marie Renée), 20 ; (Thomas), 19-20. Atlantique (océan), 57, 76, 119, 132, 136, 142, 219. ...