... J’étais un fier-àbras. » La famille descendait à la mer, de temps à autre, pour un piquenique et une baignade. ...
Wilbrod Bherer
... 40 w ilbrod bherer À l’automne, la famille retournait vivre au village afin que, par la suite, les enfants devenus plus grands puissent aller à l’école. ...
... Elle était la bonne mère de famille qui tricotait, cousait, faisait des vêtements, tels les pantalons, les vêtements de travail pour tous les siens. « Sur la machine à coudre White », se remémore-t-il facilement. ...
... Photo de famille prise en 1915 : Wilbrod Bherer-père, Wilbrod Bherer-fils, Jean-Charles Bherer, Laure Lapointe. ...
... Dans sa famille, Wilbrod n’avait pas vécu le rationnement. À la campagne, les gens vivaient des produits de la ferme. Mais, sitôt arrivé au pensionnat, il connut forcément la privation. ...
... Pensionnaire, on ne perd pas le sens de la famille, mais on perd cet attachement ombilical à la famille. On devient responsable de sa vie, plus indépendant. On accepte plus les responsabilités. Les actes que l’on pose nous jugent au jour le jour. ...
... Là, il fera ses Belles-Lettres (1922-1923), sa Rhétorique (1923-1924) et sa Philosophie (1926-1927). On peut se demander les raisons qui l’ont ainsi amené à Montréal. ...
... La famille s’était gardé toutefois un grand morceau de terrain. Ce fut la fin de Port-au-Saumon... Wilbrod-père administra le magasin général jusqu’à son décès survenu en 1941. L’établissement6 sera alors vendu. ...
... Lorsque son père a abandonné le moulin, la famille est retournée, pour de bon, vivre au village. ...
... Il dit que la famille menait une vie heureuse à la mesure de ses moyens. « Nous étions nourris à même les produits de la ferme, dans une maison chauffée au bois coupé dans notre forêt. ...