... L’encre du traité de Paris13 à peine sèche, il s’installe à Montréal et investit dans la propriété foncière avec l’achat de plusieurs seigneuries dans la vallée du Haut-Richelieu ; leurs titulaires, soit retournent en France, soit, ruinés14, liquident ...
Zacharie
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... Anathalie pour sa part se fait traiter de garce et de putain par les servantes de la cure. Durant l’été, on lui retire l’entretien du linge de l’église. ...
... En février 1848, Paris se soulève contre le gouvernement du roi Louis-Philippe. Les émeutiers couvrent les rues de barricades et la Garde nationale fraternise avec eux14. ...
... Théodore Doucet, vice-consul et notaire montréalais, certifie l’authenticité des signatures de ses deux confrères, contresigne le document, y oppose son sceau de représentant de l’Empire français et expédie le dossier au ministère des Affaires étrangères à Paris ...
... Avant de réprimer dans le sang la Commune de Paris, le nouveau gouvernement français se voit imposé, le 10 mai, le traité de Francfort qui cède l’Alsace et la majeure partie de la Lorraine à l’Allemagne et exige le paiement d’une indemnité de cinq milliards ...
... Débarqué au Havre, Adolphe-Pierre doit emprunter le train jusqu’à Paris et, de la gare du Nord, gagner celle de l’Est. Il monte à bord de la ligne Paris-Strasbourg, descend à l’arrêt de Bar-le-Duc et se fait conduire en voiture à Laheycourt. ...
... Charles le traite comme son clerc, mais aussi, avec l’aide de sa mère, comme un frère, à peine plus jeune qu’Émile dont il a la charge. Relation d’autorité donc, avec en arrière-plan un modèle paternel, celui de Joseph Desaux. ...
... Portrait physique « C’est un jeune homme de 23 ans ; ses traits n’offrent rien de rude, sa figure est assez calme » écrit le chroniqueur du Journal de la Meuse à l’issue du procès à Saint-Mihiel. ...
... Ces traits, nous les retrouvons sur les photographies de son fils aîné et de ses petits-enfants ; la chevelure crépue a toutefois cédé la place à des boucles moins serrés chez les uns, à des ondulations chez les autres. ...
... Lorsque Fabvier, le procureur général du roi à Nancy, écrit au garde des Sceaux à Paris pour recommander la commutation de la peine aux travaux forcés en celle de réclusion, il signale que « plusieurs personnes dignes d’estime portent à ce jeune homme ...