Nos livres font parler d'eux

Billets de Maxence, 1939-1944 (Les)

Même si Maxence n'a connu qu'un succès, disons local de ces billets d'humeur, aujourd'hui c'est tout le Québec qui peut prendre connaissance de l'oeuvre colossale de Gagnon. Ce livre est une trace historique de 1939 à 1944 d'un homme aux multiples talents qui possédait une réelle plume littéraire. Un livre inattendu et enrichissant.

Jean-Luc Doumont, Made in Québec

Billets de Maxence, 1939-1944 (Les)

Les Billets de Maxence, c'est de la lecture heureuse et cocasse, réfléchie et rigolote, souvent impertinente et parfois même un peu méchante dans un contexte historique précis, un trésor pour découvrir l'histoire du Québec tout en se bidonnant.

Jacqueline Mallette, ServicesMontréal.com

Canada et la guerre (Le)

Puisque le Canada est en guerre réelle en Afghanistan (la notion de mission de paix ne tient plus la route), il est bon de se référer à l'essai de Sam Haroun sur le profil historique du Canada en guerre. Si d'office le Québec a été à ce chapitre une société distincte du reste du Canada, s'opposant à toute participation, il y aura toutefois une seule parenthèse qui a faite l'unanimité, c'est au cours de la guerre de Corée.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Au-delà de la religion

C'est un fait, l'Église catholique, écrasant tout sur son passage avec ses dogmes non discutables, s'est tirée dans le pied. Maintenant, par quoi va-t-on la remplacer? Andréa Richard fait la proposition d'une substitution par des valeurs morales. Les évêques y goûtent pour leur complicité avec le Vatican qui fait la sourde oreille aux revendications de la base.

Daniel Rolland, Culture Hebdo.com

Vie musicale à Trois-Rivières, 1920-1960 (La)

L'ouvrage est d'intérêt pour quiconque s'intéresse à l'histoire de Trois-Rivières, à la musique ou à la dynamique culturelle de cette ville dans son ensemble.

Linda Corbo, Le Nouvelliste

Un taxi la nuit. T-II

Proses poétiques, ou poésies prosaïques, les textes de Lalonde, un homme de culture plongé au coeur du "vrai monde", relèvent presque de l'anthropologie et on parie que, dans les décennies à venir, les universitaires et les littérateurs y recourront pour mieux comprendre cet étrange début de siècle.

Aleksi K. Lepage, La Presse

Chroniques d'une mère indigne 2 (Les)

Caroline Allard, alias la Mère indigne, relate les hauts et les bas, avec à la fois tendresse, humour et causticité, des aléas de la vie de maman.

Aleksi K. Lepage, La Presse

Un taxi la nuit. T-II

Émotions garanties. Rires garantis. Nature humaine sous la loupe. Montréal, ses lieux, ses institutions, ses rues, ses boulevards, ses ruelles, ses nids de poule, sa neige, ses habitudes. Tout y passe, par l'oeil et par le coeur!

Jacqueline Mallette, ServicesMontréal.com

Un taxi la nuit. T-II

Un taxi la nuit, c'est une histoire d'amour avec la nuit, avec la ville, avec ses odeurs et ses couleurs, avec ses sons et ses musiques. Un taxi la nuit, c'est la rencontre des riches et des pauvres. Un taxi la nuit, c'est des amis disparus et d'autres qu'on croyait morts. C'est des deals, des ententes, des aides et de la compassion, c'est le Léon que j'ai toujours aimé, qui porte son regard à la fois triste et joyeux sur notre monde : jamais tout à fait mauvais, mais un peu méchant, juste ce qu'il faut. Jamais bonasse non plus, mon vieux chum est au coeur de la vie, au coeur de l'empathie quand on surprend l'une et l'autre au coin de la beauté autant qu'au détour de la laideur.

J'aime Léon parce que dans ses mots, il y a l'humanité, débarrassée du masque pervers des repères politiques, économiques, sociaux ou historiques. J'aime Léon parce qu'il écrit la vie, parce qu'il nous la fait goûter et toucher, avec ses couleurs d'enfer et son ciel magnifique.

Lire Léon c'est une soudaine envie d'aller se promener. Lire Léon c'est sentir le besoin de se mettre en mouvement. Parce que rien, chez lui, ne confère à l'immobilisme. Rien. Absolument rien, même après des heures sur le stand.

Léon vit et écrit dans, par et pour le monde.

Michel Vézina, Montréal express

Fonctionnaires (Les)

Tous ceux qui travaillent dans la fonction publique ou qui viennent d'y arriver, tous ceux qui font de la politique, qui sont dans les cabinets politiques (les attachées de presse, les chefs de cabinet, etc.) devraient lire ce livre-là: c'est du bonbon.

Michel Leclerc, Journal de Québec

Être

Rarement a-t-on traduit avec autant de sensibilité l'effet dévastateur de la cruauté et de l'indifférence sur l'enfance et l'innocence. Les 15 courtes nouvelles du recueil sont autant de petits drames, en apparence anodins, sous lesquels couve la grande tragédie de l'être qui se résigne à rentrer dans le rang.

Martine Desjardins, L’actualité

Être

Très beau recueil de nouvelles. Belle maîtrise de la langue française. Une écriture où la sensibilité est palpable.

Danielle Perreault, Radio 103.5 FM (Lanaudière)