1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique

1763. Le traité de Paris bouleverse l'Amérique

Page 99

... … s é r i c b é d a r d 99 L’entrée en scène de l’abbé de Bernis Né en 1715, l’abbé de Bernis est le cadet d’une famille noble plutôt désargentée. Comme d’autres fils de la noblesse, il choisit la soutane sans avoir la « vocation ». ...

Page 100

... François-Joachin de Pierre de Bernis, Mémoires et lettres, Paris, Plon, 1878, vol. 2, p. 220. ...

Page 102

... François-Joachin de Pierre de Bernis, Mémoires et lettres, op. cit., p. 259-260. 8. Ibid., p. 156. ...

Page 104

... de gouvernement, de nerf, ni de prévoyance15. » « Je ne songerais pas à la paix si nous étions bien gouvernés [mais] nous sommes dans des mains ou malhabiles ou perfides16. » L’abbé de Bernis sent monter la colère du peuple : « On me menace par des lettres ...

Page 105

... Bernis à Choiseul, 27  avril 1758 dans François-Joachin de Pierre de Bernis, Mémoires et lettres, op. cit., p. 215. ...

Page 106

... Bernis à Choiseul, 7  avril 1757 dans François-Joachin de Pierre de Bernis, Mémoires et lettres, op. cit., p. 201-202. 28. Bernis à Choiseul, 22 juin 1758 dans ibid., p. 245. ...

Page 107

... Bernis à Choiseul, 29  juin 1758 dans François-Joachin de Pierre de Bernis, Mémoires et lettres, op. cit., p. 247. 32. Charles Pinot Duclos, Mémoires secrets, tome III, 1721-1756. Le règne de Louis XV, Paris, Éditions Paleo, 2008, p. 212. ...

Page 109

... Ce que montre clairement cette lettre, c’est que le roi est résolu à poursuivre la guerre, qu’il n’entend aucunement remettre en question l’alliance avec l’Autriche. ...

Page 118

... circuits des peaux canadiennes de la réception sur les rives du Saint-Laurent à la diffusion en France et en Europe du Nord, le port d’Aunis ayant comme atout ses liens d’affaires dans les ports de l’Europe du Nord-Ouest où bon nombre des membres de leur famille ...

Page 120

... Par leur Société du Canada, les Gradis, grande famille juive très liée avec le négoce protestant32, réalisent des centaines de milliers de livres de profits entre 1748 et 1756 car ils ont réussi à intéresser à leurs affaires l’intendant François Bigot ...