... À son second voyage en 1535, Cartier mentionne que les femmes iroquoiennes lui apportent poisson, fèves, potages, pain, maïs, citrouilles et autres produits. ...
À table en Nouvelle-France, deuxième édition
... Bref, leur menu serait composé de pain de maïs et de poisson, notamment lors des fêtes ou festins. ...
... On y jette du poisson séché, des viandes, des haricots ou des courges, le tout sans sel. Il faut remarquer que la description des paragraphes précédents est conjecturale. ...
... Ces nations vivent de chasse et de pêche : orignaux, caribous, ours et castors. Ils adorent boire le bouillon fait avec du lièvre, de la martre ou de la perdrix et en font même à base de tripe de roche, une espèce de lichen. ...
... Après avoir pêché l’anguille du 15 septembre au 15 octobre, ils la font sécher comme provision d’hiver et, en janvier, ils chassent le castor. ...
... Ils cueillent 42 espèces de fruits, pêchent 25 sortes de poisson dont l’anguille et consomment 14 sortes de racines. ...
... L’automne est la saison de l’abondance avec les grands poissons, les coquillages, les fruits, sans compter les outardes, canards et autres sortes de gibier23. ...
... Oiseaux et poissons abondent, selon tous les observateurs. En Iroquoisie, les poissons les plus usuellement consommés sont l’anguille et le saumon, l’esturgeon et la barbue. ...
... En novembre et décembre et souvent en janvier, ils vivent d’anguille boucanée, sans compter le porc-épic et le castor. ...
... On conserve le poisson pour l’ajouter à la sagamité durant l’année. Le bouillon devient le breuvage33. L’hiver, la viande obtenue par la chasse et le poisson sont réservés aux festins. ...