Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

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... Seule femme active de la dernière génération, Marie Josèphe Gatien épousait d’abord le marchand voyageur Pierre Boyer. ...

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... En 1762, un cousin de Marie Josèphe, Nicolas Marchesseau, lui signait une procuration. Les familles Boyer, Gatien et Marchesseau étaient liées par des renchaînements d’alliances. ...

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... En 1756, la couturière Marie Renée Aubin emmenait avec elle sa mère, Françoise Bigras, lorsqu’elle a engagé sa fille Marie Louise Arier chez le tailleur Joseph Desautels. ...

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... Nous venons de voir le cas de Marie Josèphe Gatien et de son cousin Nicolas. ...

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... Le 6 mars 1741, à la différence de ses frères et sœurs qui sont placés sous tutelle au décès de leur père, elle était émancipée d’âge par un arrêt du Conseil supérieur à 19 ans. ...

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... Pour la biographie de cette étonnante couturière, voir Suzanne Gousse, «  Marie Catherine Demers Dessermon (1698-1785), cofondatrice oubliée. ...

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... Raimbault de Piedmont, 1er mars 1727. ...

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... La plupart de ces femmes étaient des célibataires majeures et des veuves car, selon la loi, les femmes mariées étaient « soumises à leurs maris et ne [pouvaient] engager de procédures (à l’exception de la demande de séparation de corps et de biens) sans ...

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... La seule plaignante est Marie Josèphe Lafaye, couturière chez Mlle Soumande, qui poursuivait la servante Marie 90. La base de données Pistard [en ligne] a été consultée à plusieurs reprises entre le 13 et le 17 octobre 2008. ...

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... Disposant de leurs droits, douze filles non mariées et quinze veuves ont eu affaire avec le système judiciaire. Pour des raisons non précisées, les huit femmes mariées ne se retrouvent plus devant la justice après le décès de leur mari. ...