... C’est l’assemblage du linge que la plupart des filles apprenaient auprès des femmes de leur famille. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... Il y en a d’autres qui créent des vêtements de femmes et d’enfants, à la dernière mode, pour les membres de la famille Monière ou pour quelques clients de celui-ci. ...
... Il se peut aussi qu’une fillette ait appris à écrire à la maison, avec un maître itinérant, un tuteur ou un membre de la famille. ...
... La relation entre ces deux métiers, la transmission des savoirs et la concentration de la production entre les mains de certaines familles de tailleurs à Montréal mériteraient une étude approfondie. l’apprentissage notarié Quelles étaient les conditions ...
... 66 • les couturières de montréal au xviiie siècle pour les membres de la famille de Monière et pour des clients pour lesquels il a servi d’intermédiaire. C’est le cas du « sieur Michel, commissaire » qui loge chez le marchand75. ...
... Voir à ce sujet François-Joseph Ruggiu, L’individu et la famille dans les sociétés urbaines anglaise et française (1720-1780), Paris, PUPS, 2007, p. 25-26. ...
... Compte tenu des dimensions de la ville, les femmes pouvaient y trouver du soutien dans leur voisinage et parmi la famille étendue11. Le remariage du père ne 9. ...
... Micheline Baulant, « La famille en miettes », Meaux et ses campagnes - Vivre et survivre dans le monde rural sous l’Ancien Régime, Rennes, ...
... Quarante pour cent de celles qui sont nées après 1725 (6 sur 15) ont grandi dans une famille élargie. Au total, dix pères et dix mères se sont remariés alors que les filles avaient entre trois et seize ans. ...
... Les demi-frères et demi-sœurs ainsi que les autres membres de la famille élargie, beaux-pères et bellesmères, oncles et tantes « par alliance », feront partie plus tard des réseaux de compérage. ...