... et Marie Tourné (Tournay ? Bétourné ?) ont été retirées du lot. Pour sa part, Cécile Verdoni qui a travaillé sur les marguilliers de Montréal, un groupe de notables en principe plus visible dans les sources, a obtenu un taux de 96,2 %. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... Ceux de Madeleine Dumouchel, Marie Catin et Françoise Parant sont inclus dans le compte de mademoiselle Leduc, la fille de Marsolet. ...
... Ce sont Angélique Jalot, Marie Louise Paillé et Marie Françoise Parent. Cette étude se base sur un échantillon assez substantiel de soixante-sept couturières ayant pratiqué à 14. ...
... Ce pourrait être le cas des couturières anonymes à qui la sœur de Monière, Marie Anne Lemoine, semble confier la confection d’articles de traite. ...
... Chacune devait s’étendre sur une vingtaine d’années, mais la date de début de la première cohorte, qui aurait dû être 1664, a été reculée pour y inclure Marie Brazeau, qui se serait retrouvée seule ou exclue. ...
... La plus ancienne, Marie Brazeau, est née en France vers 1660 et a émigré avec ses parents et ses frères vers 168520. ...
... Pour sa part, Marie Françoise de Couagne Budemont est née à Louisbourg et Marie Anne, l’esclave panise de Monière, est née dans le Pays d’en Haut. ...
... Selon Marie de l’Incarnation qui se consacrait à Québec à la formation des fillettes françaises et amérindiennes « lire, écrire, jeter [compter avec des jetons] et tous les petits ouvrages propres à leur sexe, [voici] tout ce que doit savoir une fille27 ...
... Il s’agit de Marie Anne Lemire (en 1682), de sa cousine Anne Guyon Durouvray (en 1683) et de Marie Anne Lemoine, la sœur de Monière (en 1692 et 1694)37. ...
... Il faut peut-être faire exception de Marie Catin, née à l’île Sainte-Thérèse, qui a grandi et s’est mariée à Montréal38. ...