... Seule Madeleine Maurice, de la quatrième cohorte, a été la marraine d’une douzaine d’enfants, dont seulement deux de sa famille. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... O r i g i n e s d e s c ou t ur ières • 101 de leur famille. Un nombre élevé de marrainages ne semble pas lié à la condition sociale du couple formé par la couturière et son mari. ...
... 102 • les couturières de montréal au xviiie siècle Tableau 11 LIENS AVEC LES FILLEULS (EN %) Liens avec Famille Couturière Tailleur ou épouse Monière ou indirect Enfant trouvé Amérindien ou Panis Noir Non identifié * 1660-1684 34,5 4,7 1,7 1685- ...
... C’est toutefois majoritairement à l’intérieur des familles que la réciprocité a pris place, comme on le voit dans l’exemple des cousines Lemire et Durouvray. Douze couturières ont été les marraines des enfants de leurs sœurs et belles-sœurs. ...
... Père Mari X X Frère X X X Fils Famille X X X X X X X Sœur X X 2e X X X X X X X X X 2e X X X ? X X X ? X X X Biron X X X Véronique qui avait été engagée pour une période de dix ans en 1716 par la veuve Lafond. Ils demandent 31. ...
... Le décès d’un membre de la famille ou de la confrérie à laquelle on appartenait était aussi une occasion de rencontres37. ...
... La Confrérie de la Sainte Famille, fondée en 1663 et ouverte à tous les adultes, a connu un recrutement 39. Communication personnelle en date du 12 avril 2008. ...
... Les familles Lemire, Guyon et Pépin étaient très imbriquées44. ...
... Savary ajoute qu’il arrivait souvent que des négociants en difficulté financière, ayant obtenu des lettres de répit ou des arrêts de défense à l’encontre de leurs créanciers, demandaient une séparation de biens. ...
... De son côté, le sergent Sargnat dit Lafond qui est devenu aubergiste se réservait en propre 5 000 livres en lettres de change qui devaient aller à sa femme s’il mourait sans enfants. ...