... Un défilé très coloré de « midinettes » et de « petites mains » avait lieu à Paris chaque année à cette date au xxe siècle. 37. ...
Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)
... Le contrat de mariage La Coutume de Paris, qui avait cours dans la colonie canadienne, proposait la communauté de biens aux nouveaux époux45. ...
... Compte tenu des petits nombres, les remariages n’ont pas été traités à part. 49. Il varie entre 81,2 %, 94,5 %, 80,9 % et 61,9 %. 50. Données tirées de Nathalie Pilon, Le destin…, p. 75 ; Josette Brun, Le veuvage…, p. 54-55. ...
... Suivant la Coutume de Paris établie dans la colonie, cinquante-huit couples – dont l’épouse a été couturière – ont choisi la communauté de biens comme régime matrimonial52. ...
... La Coutume de Paris permettait aux fiancés d’inclure leurs biens propres dans la communauté. Josette Brun a trouvé très peu de couples de Québec apportant dans la communauté des immeubles qu’ils avaient acquis avant le mariage (10,1 %59). ...
... épouse dans la communauté, ceux-ci pourraient être repris, par elle ou ses ayants droit, avant la dissolution de celle-ci. la reprise et la renonciation Pouvoir renoncer à une communauté déficitaire était un avantage accordé à la veuve par la Coutume de Paris ...
... (histoire), Université de Paris-Sorbonne, 1997, p. 57-62 et de Nathalie Pilon, Le destin des veufs et des veuves de la région de Montréal au milieu du xviiie siècle, mémoire de M. A. (histoire), UdM, 2000, p. 88-90. ...
... Nuptialité - Fécondité - Mortalité infantile, Paris, PUF, 1954 ; Hubert Charbonneau, Vie et mort de nos ancêtres. Étude démographique, Montréal, PUM, 1975. ...
... Après un procès dont on ne connaît pas l’issue, il s’est engagé pour la traite. Il s’est ensuite fixé à Lachine où il fait encore scandale. ...
... Pour sa part, la seule fille de bourgeois, Marie Josèphe Guyon Després, a convolé à 17 ans avec Paul Marin de Lamalgue, un officier militaire engagé dans la traite et de neuf ans son aîné. ...