Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Page 91

... À l’exception des parents des mariés, les témoins aux deux événements n’étaient pas nécessairement les mêmes. ...

Page 93

... cérémonie à l’église semble être un événement de nature plus privée puisque deux fois plus de témoins (752 contre 360) ont été invités à la signature du contrat, lequel se déroulait très souvent chez un notable local, lié ou non à la famille d’un des mariés ...

Page 94

... Marie Josèphe Guyon Després et Paul Marin ont rassemblé autour d’eux six nobles sur dix-huit témoins. ...

Page 95

... Marie Louise Paillé, veuve du tailleur Greenhill, et Marguerite Beaumont étaient au mariage de leur nièce et sœur, Marie Anne Beaumont. ...

Page 96

... Les marrainages de la célibataire Marie Françoise Parent n’ont pas pu être départagés, car elle a des homonymes à Montréal. Un seul baptême a pu être attribué à Françoise Parant avec certitude. ...

Page 98

... C’est le cas de Marie Anne Lemire et d’Anne Guyon Durouvray, deux cousines, qui ont marrainé chacune un enfant de l’autre. ...

Page 99

... Monière, Marie Anne Lemoine, a été marraine d’un des enfants de Catherine Guillemot. Pour sa part, Louise Lepage Roy s’est adressée à Louise Giguère. ...

Page 101

... Par contre, Madeleine Dumouchel et Marie Catin, qui ont toutes les deux quatorze filleuls, dont la majorité n’étaient pas de la famille, étaient mariées à un maître cordonnier et à un aubergiste, d’anciens militaires. ...

Page 102

... Catherine Lepage Roy a été la marraine de la petite Victoire, née des esclaves Charles et Marie Reine. Le couple, marié le 5 février 1756, appartenait au gouverneur général Vaudreuil22. 22. ...

Page 103

... Il s’agit probablement de Marie Marguerite Philippe Étienne. Communication personnelle d’Émilie Robert, 16 février 2010. Selon le PRDH, le mari est décédé en 1750. ...