Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

Couturières de Montréal au XVIIIe siècle (Les)

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... Marie Louise Lepage Roy se réservait ce qu’elle avait de meubles, linges et hardes d’une valeur de 400 livres. Les apports de quelques époux étaient en fait des contributions de leurs parents ou des tuteurs. ...

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... Il s’agit de Marie Élisabeth Bleau qui devait de plus renoncer à la succession de son père pour recevoir un avancement d’hoirie de 500 livres. Cas vraiment particulier, elle n’aura droit à aucun préciput. 87. Josette Brun, Le veuvage…, p. 78. 88. ...

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... Le douaire de cette mariée est de 15  000# (ou chelins) ancien cours et le préciput, de 7 500#. ...

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... Ces moyennes, comme celles du PRDH, tiennent cependant compte à la fois des quadragénaires et des femmes décédées très jeunes et ne distinguent pas les femmes mariées des célibataires. ...

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... Ces femmes faisaient probablement partie du réseau personnel du marchand, âgé de trente-neuf ans en 1719, et de sa sœur plus âgée, Marie Anne Lemoine. ...

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... 148  •  les couturières de montréal au xviiie siècle l’exception de Louise Giguère, une « catherinette » qui a convolé à 43 ans, et de cinq autres qui se sont mariées après la première mention dans les cahiers. ...

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... À l’exception d’une couturière, les femmes mariées de la première génération ont toutes dépassé l’espérance de vie calculée pour chacune d’elles. ...

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... Il nous manque les dates de décès de trois femmes mariées. ...

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... Les couturières de la première génération se sont toutes mariées, sans exception. Cela correspond au marché matrimonial du xviie siècle, très marqué par la rareté des femmes de souche française. ...

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... Celui-ci avait noté qu’elle était née de père inconnu et de Marie Thomelet, la fille de Marguerite. Marie Perrier, une tante chez qui la jeune femme s’est vraisemblablement rendue ...